Iran : le réalisateur Asghar Farhadi réclame la libération de l'actrice Taraneh Alidoosti
L'actrice et figure du cinéma iranien a été arrêtée samedi pour avoir manifesté son soutien à la révolte qui secoue le pays. À l’instar de nombreuses personnalités et défenseurs des droits humains depuis ce week-end, le réalisateur Asghar Farhadi a lui aussi demandé mardi la «libération» de l'actrice iranienne Taraneh Alidoosti, arrêtée samedi en Iran pour avoir soutenu la vague de protestation. «Je suis aux côtés de Taraneh et je demande sa libération ainsi que celle de mes autres camarades cinéastes Jafar Panah......
Âgé de 51 ans, le célèbre réalisateur d'"Une séparation" (2011) oscarisé à deux reprises, faisait l'objet d'accusations de plagiat pour son film "Un héros", pour lequel il a obtenu le Grand Prix du festival de Cannes en 2021. France Télévisions - Rédaction Culture Publié le 13/03/2024 16:26 Temps de lecture : 1 min Le cinéaste iranien Asghar Farhadi au festival de cinéma des Arcs, à Bourg-Saint-Maurice (Savoie), le 17 décembre 2023. (FRANCK CASTEL / MAXPPP) Le célè... ...
Décret Trump : le cinéaste iranien Asghar Farhadi n'ira pas aux Oscars - francetvinfo
Cinéma : le réalisateur iranien Asghar Farhadi et son film « Un héros » au cœur d’une accusation de plagiat - lemonde
Par Le Figaro avec AFP Publié il y a 6 minutes, Mis à jour à l’instant Un héros de Asghar Farhadi raconte l'histoire d'un détenu qui devient célèbre après avoir trouvé une bourse de pièces d'or et l'avoir rendue à son propriétaire au lieu de le garder pour lui, malgré son extrême pauvreté. VALERY HACHE / AFP Le célèbre réalisateur iranien était accusé par l'une de ses élèves, affirmant que Le Héros, s'inspirait beaucoup de son documentaire All Winners All Losers. Le célèbre réalisateu... ...
Coutumier des récompenses prestigieuses (deux Oscars du meilleur film en langue étrangère, un Grand Prix à Cannes en 2021 pour Un héros, un Ours d’or en 2011 pour Une séparation…), Asghar Farhadi, 51 ans, vient de terminer le scénario de son prochain long-métrage, qui sera tourné à New York, en anglais, et produit par une société américaine. A l’occasion d’une rencontre aux Arcs (Savoie) en décembre 2023, où il présidait le jury de la quinzième édition des Arcs Film Festival, consacrée au cinéma indépendant. ...
IFFK : Je ne veux rien d’autre que des droits naturels, déclare le cinéaste iranien Mahnaz Mohammadi - lesactualites
Everybody Knows : qui est le réalisateur Asghar Farhadi ? - justfocus
Par Le Figaro avec AFP Publié il y a 23 minutes, Mis à jour il y a 10 minutes Comme certaines de ses consœurs, l’actrice Taraneh Alidoosti, célèbre notamment pour son rôle récent dans Leïla et ses frères de Saeed Roustaee, n’a plus le droit de tourner en Iran. LOIC VENANCE / AFP Les autorités iraniennes ont indiqué mercredi qu'au moins douze comédiennes étaient interdites de travail pour être apparues en public sans porter le hijab obligatoire dans la République islamique. «Celles qui ne respecten... ...
Jalal Mohsen (Navid Mohammadzadeh), dans « Les Ombres persanes », de Mani Haghighi. MOHAMAD BADRLOO/DIAPHANA Dans un Téhéran battu par des pluies incessantes, où les appartements prennent l’eau, un couple découvre petit à petit l’existence d’un autre couple de parfaits sosies – les deux binômes sont d’ailleurs joués par le même duo de comédiens, Taraneh Alidoosti et Navid Mohammadzadeh. Les premiers, modestes artisans, attendent un enfant, tandis que les seconds, plus élevés socialement, se débattent avec... ...
"Je ne toucherai pas aux... " : Olivier Véran nouveau médecin esthétique, ces opérations qu'il va refuser de pratiquer - purepeople
Tensions Iran-USA : Téhéran rejette la rumeur d’un contact avec Elon Musk - entrevue
Margot Robbie dans Barbie, Taraneh Alidoosti dans Les Ombres persanes et Ayoub Elaid dans Les Meutes. Warner Bros/Diaphana Distribution/Barney Production Un géant du jouet qui fait des films de film pour relancer sa poupée, une monitrice d'auto-école qui voit par hasard son mari entrer dans un immeuble, des routes rocailleuses, des vieux édentés, des voyous trop bien habillés... Que faut-il voir cette semaine ? Barbie - À voir Comédie de Greta Gerwig, 1h54 Barbie ou la forme ultime du placement de prod... ...
Par Eric Neuhoff Publié il y a 2 minutes, Mis à jour il y a 2 minutes Navid Mohammadzadeh (Mohsen) et Taraneh Alidoosti (Bita) dans un troublant jeux de miroirs. Mohamad Badrloo/FILMS BOUTIQUE - MAJID FILM PRODUCTION - DARK PRECURSOR PRODUCTIONS/Diaphana Distribution CRITIQUE - Un couple d’Iraniens découvre qu’ils ont un sosie. Le début d’un thriller étrange et mystérieux, très bien mené. À vérifier. Il paraît qu’on a tous sept sosies dans le monde. Un seul suffit pour changer la vie. C’est du moins... ...
Barbie, Les Ombres persanes, Les Meutes... Les films à voir ou à éviter cette semaine - lefigaro
Guillaume Canet et Laetitia Dosch, copie conforme de Kate Middleton, très complices en pleine montée des marches à Cannes - closermag
Avec le conflit qui éclate actuellement au Soudan, on pourrait être pardonné de s’approcher Mohamed Kordofani‘s “Au revoir Julia», qui se déroule à Khartoum au cours des six années précédant la sécession du Soudan du Sud en 2011, comme une leçon d’histoire digne d’actualité. Et cela a certainement du mérite en tant qu’amorce des troubles de classe, ethniques et religieux qui assaillent l’État troublé. Mais ce qui se passe réellement est beaucoup plus engageant, dans la veine d’Asghar Farhadi, dans lequel un noy. ...
Hadi Mohaghegh et Mohammad Eghbali, dans « L’Odeur du vent », de Hadi Mohaghegh. BODEGA FILMS Dans le cinéma d’auteur iranien, tel qu’il nous arrive en France, deux grandes tendances de réalisme se dessinent : les cinéastes pour lesquels la réalité est un piège (école Asghar Farhadi) et ceux pour lesquels elle est une énigme (école Abbas Kiarostami). Les premiers s’appuient sur la parole pour planter le théâtre social du cas de conscience, les seconds sur l’espace pour y inscrire des trajectoires contempl... ...
Json film du réalisateur iranien britannique Hassan Nazer était l’entrée britannique dans la section des longs métrages internationaux aux Oscars de cette année; malheureusement il n’a pas été nominé. C’est une comédie sympathique et douce sur deux enfants dans laquelle une statuette d’Oscar joue un rôle : l’ultime MacGuffin, peut-être. C’est aussi un film plutôt cinéphile qui s’interroge sur l’énorme prestige du cinéma iranien à l’étranger. La prémisse est que le grand réalisateur iranien Asghar Farhadi,.. ...