Critique de “L’art suédois de vieillir avec exubérance” de Margareta Magnusson
Commentez cette histoire Commentaire Les européennes font tout mieux : les mères allemandes élèvent mieux les enfants, les françaises mangent mieux, les danoises créent mieux les ambiances cosy et relaxantes. C’est du moins ce que nous disent les best-sellers. Maintenant, avec “L’art suédois de vieillir de manière exubérante : la sagesse de la vie de quelqu’un qui mourra (probablement) avant vous”, le dernier en date de l’octogénaire Margareta Magnusson, les Suédois semblent avoir le verrou superla......
Frédéric Beigbeder : «Angelo Rinaldi, maître de la critique dans une époque qui a perdu le bon goût»
Réservé aux abonnés Frédéric Beigbeder. François BOUCHON CHRONIQUE - Le maître de la critique française publie un recueil qui humilie notre corporation. Tous les critiques littéraires sont ses élèves mais ce sont des cancres. Il nous a appris l’ironie cinglante, l’érudition subtile, la digression intelligente, la langue de vipère et le courage. Surtout le courage : Angelo Rinaldi n’a jamais ridiculisé que les puissants. Le maître corse règne toujours sur l’art de l’éreintement, même ... ...
"C'est quasi du Zemmour", Frédéric Beigbeder heurte les célèbres invités de Léa Salamé dans "Quelle époque", Isabelle Carré le fracasse ! - public
Donald Trump, “un obsédé sexuel” : Frédéric Beigbeder l’assure et il sait d’où ça viendrait - closermag
Frédéric Beigbeder très franc sur sa consommation de drogues : “Je me retrouve aux toilettes…” - melty
Résumé François Ozon critique la chirurgie esthétique et assume sa préférence de travailler avec des actrices au visage plus réaliste. Sommaire Il est l'un des réalisateurs les plus respectés du cinéma français. François Ozon a fait tourner quelques-unes des icônes de notre patrimoine. Et ce 20 mars 2025, dans une interview sans concessions, il dit franchement ce qu'il pense de certaines de ses collaboratrices. Lui qui a notamment engagé Catherine Deneuve, Isabelle Huppert, Fanny Ardant, Emmanuelle Béart... ...
CRITIQUE - Thierry Frémaux poursuit son exhumation des « vues » des inventeurs du cinéma, cent trente ans jour pour jour après le premier film des frères Lumière. Beetlejuice 2, Joker 2, Gladiator 2 et maintenant Lumière 2. Louis et Auguste Lumière cèdent à la mode des suites, symptôme d’une industrie en panne d’inspiration dont Hollywood n’a pas le monopole (voir Les Tuche 5). À vrai dire, les inventeurs du cinématographe n’y sont pas pour grand-chose. Thierry Frémaux est le principal responsable. Le délégu... ...
« Lumière, l’aventure continue » : un hommage aux inventeurs du cinématographe, à jamais les pionniers - lemonde
“Lumière, l’aventure continue” : un documentaire pour célébrer 130 ans de cinéma - entrevue
"Enfin le cinéma !" : le musée d'Orsay met en lumière la naissance du septième art - francetvinfo
Avant de devenir une référence, l’Ivoirien a d’abord cheminé seul, bien décidé à devenir peintre dans une société qui accorde peu de considération aux artistes. Aujourd’hui, Paris, Londres, New York ou Lagos s’arrachent ses œuvres. Lorsque l'Ivoirien Aboudia est devenu l'un des peintres les plus vendus au monde, un parallèle a été fait avec Jean-Michel Basquiat qui ne concernait pas uniquement leurs toiles : « Ils se sont retrouvés dans la rue, seuls, mais ont su en tirer profit », raconte le critique d'art ... ...
Exposition : Artemisia Gentileschi, une peintre libre aux nombreux nus féminins - lefigaro
CRITIQUE - La pièce de François Barluet raconte l’engouement de Durand-Ruel pour les impressionnistes. Une déclaration d’amour à l’art pictural, à voir en urgence au Théâtre du Petit Montparnasse, à Paris. Jeanne (Christelle Reboul) n’en peut plus, Paul, son mari (Christophe de Mareuil), encombre leur appartement avec des centaines de toiles de ses amis peintres, Renoir, Monet, Corot, Boudin… « Vous commercez peu, mais collectionnez beaucoup ! », lui reproche-t-elle. Ce passionné croit dur comme fer au potentiel d... ...
CRITIQUE - Plus mélancolique et plus attachant, ce dernier volet voit Renée Zellweger, désormais veuve et mère de famille, tenter de retrouver l’amour au temps du consentement. Rares sont les comédies romantiques qui se penchent sur l’après « happy end » de leur héroïne, les coups du sort, les revers qu’elles subissent, ou qui les laissent vieillir. C’est la petite révolution de Bridget Jones : folle de lui, épilogue attachant des aventures de la plus emblématique célibataire du septième art. La Londonienne a dés... ...
Disposer d’un texte critique est essentiel pour un artiste : cela permet d’éclairer sa démarche artistique, d’inscrire son travail dans une perspective historique et de mieux le valoriser. C’est pourquoi, pour la sixième année, l’ADAGP reconduit ce programme visant à soutenir les artistes en facilitant la rédaction et la diffusion d’un texte critique dans Le Quotidien de l’Art. Les 10 artistes sélectionnés bénéficieront : D’un texte critique inédit rédigé par un critique d’art.D’une rémunération de 1... ...
Parmi la soixantaine de textes qu’il consacre à l’art – principalement à la peinture, mais aussi à la sculpture, à la gravure et à la photographie – ce volume en rassemble quinze. Qu’il s’agisse des œuvres de Cézanne, Poussin ou Vallotton, Roud les aborde toujours avec un regard de poète, attentif aux textures, aux lumières et aux nuances qui composent le monde. Ses premiers écrits, parfois incisifs et denses, laissent peu à peu place à des hommages admiratifs, des témoignages d’amitié et des évocations emp... ...
CRITIQUE - Pour son premier film, Koya Kamura adapte le roman d’Elisa Shua Dusapin et fait preuve d’une maturité impressionnante pour décrire le lien fragile entre deux êtres. Limande-sole, seiche, poulpe ou fugu, mortel s’il n’est pas préparé dans les règles de l’art, le poisson est partout à Sokcho, ville côtière de l’extrême nord-est de la Corée du Sud, non loin de la frontière. Sur les étals du marché, où travaille la mère de Soo-ha. Dans les assiettes, préparées notamment dans les cuisines du modeste hôt... ...
Anthony Kavanagh : Sa "pêche miraculeuse" avec son fils Mathis - purepeople
CRITIQUE - En phase terminale d’un cancer, un ancien documentariste se confie sur sa vie face caméra. Des aveux lâchés par Richard Gere, parfait dans ce rôle tiré d’un livre de Russell Banks. On ne devrait pas vieillir. Cela éviterait de mourir. Trop tard. Leonard Fife est atteint d’un sale cancer. La phase terminale se profile. Avant de partir, ce documentariste célèbre accepte de se livrer à une interview sans fard filmée par deux de ses anciens étudiants. Dans sa maison de Montréal, il s’installe devant la caméra,... ...
«Révélations sur le quotidien éprouvant des mangakas: 10 faits méconnus» - Soo Curious