Notre critique de Cesaria Évora en toute intimité
Par Olivier Nuc Publié le 26/11/2023 à 10:08, Mis à jour il y a 3 heures Un film documentaire Cesaria vora, la Diva aux pieds nus retrace la vie de la grande chanteuse du Cap-Vert. AFP/Thomas Coex CRITIQUE - Un documentaire retrace la vie et la carrière de la chanteuse capverdienne disparue en 2011. Grâce à elle, on avait appris à situer le Cap-Vert sur la carte des musiques du monde. De cet archipel oublié, Cesaria Évora aura été une infatigable ambassadrice, multipliant les tournées internationales quasime......
CRITIQUE - Dans un décor sobre, Guy Cassiers met brillamment en scène la tragédie de Racine, magnifiée par Suliane Brahim et Jérémy Lopez. La dernière « Bérénice » vue à Paris était une vraie purge. Le maître d’œuvre de ce ratage grandiose ? L’intouchable Romeo Castellucci. La reine de Palestine, interprétée par une Isabelle Huppert pas trop dans son assiette, transformait les alexandrins en bulles de Paic citron. Une version Darty neurasthénique avec radiateur et machine à laver en guise de décorum. Au Vieux... ...
Théâtre : Rencontre avec Isabelle Huppert et Romeo Castellucci, à l'affiche de "Bérénice" de Racine - francetvinfo
Notre critique de la pièce Les gens de Bilbao naissent où ils veulent: Bérénice Bejo fait des étincelles - lefigaro
Bérénice Béjo soutenue par son mari Michel Hazanavicius, première vertigineuse et réussie au théâtre Marigny - purepeople
Frédéric Beigbeder : «Angelo Rinaldi, maître de la critique dans une époque qui a perdu le bon goût»
Réservé aux abonnés Frédéric Beigbeder. François BOUCHON CHRONIQUE - Le maître de la critique française publie un recueil qui humilie notre corporation. Tous les critiques littéraires sont ses élèves mais ce sont des cancres. Il nous a appris l’ironie cinglante, l’érudition subtile, la digression intelligente, la langue de vipère et le courage. Surtout le courage : Angelo Rinaldi n’a jamais ridiculisé que les puissants. Le maître corse règne toujours sur l’art de l’éreintement, même ... ...
"C'est quasi du Zemmour", Frédéric Beigbeder heurte les célèbres invités de Léa Salamé dans "Quelle époque", Isabelle Carré le fracasse ! - public
Donald Trump, “un obsédé sexuel” : Frédéric Beigbeder l’assure et il sait d’où ça viendrait - closermag
Frédéric Beigbeder très franc sur sa consommation de drogues : “Je me retrouve aux toilettes…” - melty
CRITIQUE - Ce premier film trépidant de Julien Menanteau est une immersion dans le milieu des courses hippiques. Le jeune Marco Luraschi en est la révélation prometteuse. Dès la pesée, on sent de l’électricité dans l’air. En file indienne, de jeunes apprentis jockeys montent les uns après les autres sur une balance sous l’œil aiguisé de Suzanne Vidal (Jeanne Balibar, hautaine à souhait). Tous sont désireux de percer dans le milieu des courses hippiques. Quand vient le tour du héros à la chevelure peroxydée, les cho... ...
En 1998, Robert Redford présentait L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux dans Première - premiere
CRITIQUE - Pour son premier film, la réalisatrice Hélène Merlin réussit une autofiction forte et d’une grande justesse qui aborde sans cliché le traumatisme de l’inceste. Le film commence comme une comédie nostalgique sur les années 1990-2000. Une narratrice présente sa famille avec une certaine désinvolture. Les images défilent sur de la pellicule Super 8. Le ton est badin. Il ne faut pas s’y fier. À découvrir Une famille bourgeoise apparaît en rang d’oignon pour une photo de groupe. Deux jeunes filles endiman... ...
CRITIQUE - Noémie Saglio transpose sur grand écran le personnage de BD créé par Walthéry en 1970. Une savoureuse comédie d’aventures satirique délicieusement anachronique. Attachez votre ceinture, relevez votre tablette et redressez votre siège, vous êtes sur le point d’embarquer sur la première adaptation cinématographique de Natacha, la sémillante hôtesse de l’air créée en 1970 par François Walthéry et Roland Goossens (Gos) dans Le Journal de Spirou . À découvrir Le titre, Natacha (presque) hôtesse d... ...
« Natacha (presque) hôtesse de l’air », une comédie féministe avec quelques trous d’air - lemonde
Camille Lou devient Natacha, le personnage de François Walthéry et Gos - actualitte
CRITIQUE - Ce premier film trépidant de Julien Menanteau est une immersion dans le milieu des courses hippiques. Le jeune Marco Luraschi en est la révélation prometteuse. Dès la pesée, on sent de l’électricité dans l’air. En file indienne, de jeunes apprentis jockeys montent les uns après les autres sur une balance sous l’œil aiguisé de Suzanne Vidal (Jeanne Balibar, hautaine à souhait). Tous sont désireux de percer dans le milieu des courses hippiques. Quand vient le tour du héros à la chevelure peroxydée, les cho... ...
CRITIQUE - Un fort volume rassemble l’essentiel de son œuvre. « Hommes de l’avenir souvenez-vous de moi / Je vivais à l’époque où finissaient les rois », exhortait Apollinaire, dans Vendémiaire, tiré d’Alcools, recueil vendu alors, c’était en 1913, à quelque 200 exemplaires. Plus d’un siècle après, jamais le « flâneur des deux rives » n’a été aussi présent, vivacement présent, dans les esprits, les bibliothèques et les anthologies. Cette popularité aujourd’hui unanime ne le fut pas toujours, com... ...
Le film des frères Dardenne revient sur Arte. Présenté en sélection officielle au 69ème Festival de Cannes, en 2016, La Fille inconnue de Jean-Pierre et Luc Dardenne sera rediffusé sur Arte en ce mercredi, et visible en replay dans la foulée. Voici la critique de Première : Récompensés à chacune de leur venue à Cannes, les frères Dardenne font partie du cercle fermé des cinéastes "bipalmés" -pour Rosetta et L’Enfant. La passe de trois est-elle possible ? On ne peut évidemment rien affirmer mais La Fille inconnue ne se... ...
![La Fille inconnue, avec Adèle Haenel, un Dardenne bon cru [critique]](https://cacheimg.twitube.top/i.php?img=http://www.premiere.fr/sites/default/files/styles/scale_crop_1280x720/public/2018-04/395022.jpg-r_1920_1080-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg&key=bb245fb84a6f28b69f9771956290ea4f)
CRITIQUE - Adaptée du roman de Christophe Boltanski, Prix Femina 2015, la comédie pétillante de Lionel Baier offre un ultime rôle, drôle et mélancolique, au regretté Michel Blanc. Cela ressemble trait pour trait au portrait d’une famille bohème. Un cliché foutraque et insouciant pris à la va-vite alors qu’explosent les premières manifestations bruyantes et révolutionnaires de Mai 68. C’est plein de couleurs vives, de joie et de légèreté, un peu comme dans la chanson de Gainsbourg Comic Strip. À découvrir ... ...
CRITIQUE - Thierry Frémaux poursuit son exhumation des « vues » des inventeurs du cinéma, cent trente ans jour pour jour après le premier film des frères Lumière. Beetlejuice 2, Joker 2, Gladiator 2 et maintenant Lumière 2. Louis et Auguste Lumière cèdent à la mode des suites, symptôme d’une industrie en panne d’inspiration dont Hollywood n’a pas le monopole (voir Les Tuche 5). À vrai dire, les inventeurs du cinématographe n’y sont pas pour grand-chose. Thierry Frémaux est le principal responsable. Le délégu... ...
“Lumière, l’aventure continue” : un documentaire pour célébrer 130 ans de cinéma - entrevue