Critique : « Moses » du Theatre J est une histoire émouvante de chagrin et de foi
Un bonhomme de neige portant la kippa d’un enfant mort. Les feux de détresse d’une Honda Civic clignotent dans la neige. Danoise à l’ananas servie dans un salon de tatouage. Des images aussi vives confèrent un caractère distinctif à « Moïse », une pièce solo imprévisible et gratifiante sur le chagrin et la foi. Pointu. Spirituel. Réfléchi. Inscrivez-vous à la newsletter Style Memo. Écrit par Michele Lowe et habilement interprété lors de sa première mondiale au Theatre J par Grant Harrison, « Moses » abor......
ALERTE SPOILER : Cette critique traite des détails mineurs de l’intrigue et des éléments de gameplay de “L’avènement des Ronin.» “Rise of the Ronin”, la dernière version du développeur “Nioh” Équipe Ninjaest l’un des jeux les plus attendus de l’année, promettant une histoire de jeu de rôle à indice d’octane élevé combinant les styles de combat orientaux et occidentaux. Dès son annonce, « Rise of the Ronin » a établi des comparaisons inévitables avec la sortie 2020 de Sucker Punch, acclamée par la ... ...
CRITIQUE - Une histoire des troupes coloniales. Qui étaient non seulement un instrument militaire, mais aussi un outil politique de la République française. Cet article est issu du Figaro Magazine À découvrir Une historienne publie un livre consacré aux troupes coloniales. Ceux qui en attendraient un point de vue idéologique - à charge ou à décharge - seront déçus, car tel n’est pas le propos de l’auteur. Agrégée et docteur en histoire, membre de l’Académie des sciences d’outre-mer et professeur d’histoire ... ...
CRITIQUE - Grâce à un intense échange diplomatique avec la Mongolie, le conquérant des steppes qui «avait du feu dans les yeux» fait l’objet d’une grande exposition inédite en France, dans le château des ducs de Bretagne, au Musée d’histoire de Nantes. Cet article est issu du Figaro Magazine Né dans la steppe, issu d’une lignée «venue du ciel», semi-légendaire, formé à un environnement hostile, Gengis Khan (1162-1227) a suscité davantage de crainte que d’admiration. Les quarante années de son règne ont longt... ...
SUSU Theatre Group offre une brillante interprétation de « Un tramway nommé Désir », présentant des performances puissantes et des détails méticuleux. Le classique de la littérature anglaise de niveau A que vous connaissez et aimez a vraiment été rendu justice par SUSU Theatre Group. Dans Un tramway nommé Désir, nous rencontrons Blanche (Olivia Grindon), la belle-sœur hautaine qui descend sur sa sœur, Stella (Emily Norman), et le mari de Stella, Stanley (Fletcher Stafford), dans une vague d’idéaux et de bienséances... ...
Son nouveau roman Intermezzo, est présenté par son éditeur Faber comme « une histoire pleine d'émotion sur le chagrin, l'amour et la famille ». Dans son quatrième ouvrage, la romancière irlandaise explore l'existence contrastée de deux frères, Peter et Ivan Koubek, dont les vies semblent partager peu de points communs. Peter, un avocat talentueux dans la trentaine basé à Dublin, navigue entre des relations amoureuses avec deux femmes différentes : son premier amour et une étudiante imprévisible. De son côté, Ivan... ...
Par Eric Neuhoff Publié il y a 1 heure, Mis à jour il y a 1 heure Un rythme languissant baigne ce Black Tea, avec Nina Melo, curieux mélange raté de In the Mood for Love et de Vénus beauté (Institut). OLIVIER MARCENY/(c) CINÉFRANCE STUDIOS /ARCHIPEL 35/DUNE VISION/Gaumont CRITIQUE - Dix ans après l’envoûtant Timbuktu, le réalisateur mauritanien Abderrahmane Sissako s’égare avec l’histoire d’une Ivoirienne qui émigre en Chine. Un film envahi par les métaphores. C’est une femme qui dit non. À la de... ...
Par Valérie Beck Publié il y a 1 heure, Mis à jour il y a 1 heure La jeune cinéaste tente de démêler les mensonges familiaux grâce des figurines représentant ses proches et une maquette du quartier de son enfance. Insight Films CRITIQUE - Avec ce premier film, la réalisatrice marocaine Asmae El Moudir essaie de retrouver les pièces manquantes de son histoire familiale. Poignant. Ce jour-là, Asmae El Moudir n’a que 12 ans mais elle en a gardé un souvenir très précis. Elle portait une robe trop grande emp... ...
Les critiques de cinéma libéraux jugent les films progressistes à travers une lentille sympathique. Ce n’est pas seulement un critique de cinéma conservateur qui dit cela. Richard Roeper a déclaré que ses pairs avaient examiné le fiasco de “SOS Fantômes” de 2016 “sur une courbe” en raison de sa bonne foi féministe. Les films de Michael Moore suscitent pour la plupart des éloges. Le récent discours anti-Trump du réalisateur Rob Reiner, « Dieu et pays », a remporté un prix 92 pour cent de note « fraîche » plus t... ...
L’histoire derrière « Ordinary Angels » est presque trop parfaite pour un grand film. Une femme qui tente de reconstruire une vie entachée par l’alcoolisme rallie une communauté pour sauver la vie d’une jeune fille, luttant ainsi contre une montagne de factures médicales. Dans certaines mains, les « anges ordinaires » seraient un raté fondé sur la foi. Réalisateur Jon Gunn (« The Case for Christ ») avait d’autres idées. Son approche du matériau est pleine de foi mais remplie de bords rugueux et disgracieux. Cela donn... ...
Par Eric Neuhoff Publié il y a 1 heure, Mis à jour il y a 1 heure Xavier Legrand. ALAIN JOCARD/AFP CRITIQUE - Après l’excellent Jusqu’à la garde, le réalisateur déçoit avec l’histoire d’un styliste confronté à la mort de son père dont il s’était éloigné. Comme il y a peu de révélations dans le cinéma français, après Jusqu’à la garde, on surveillait Xavier Legrand comme le lait sur le feu. Hélas, la casserole déborde avec Le Successeur. Cela démarre pourtant en fanfare, avec un défilé ... ...