L'art, parfois militant, des affichistes japonais
Le Japon est à l’honneur à Echirolles pour la nouvelle édition du Mois du graphisme. Parmi les huit expositions consacrées aux graphistes japonais contemporains, celle du musée Géo-Charles permet de découvrir jusqu'au 29 janvier les grands maîtres......
Le lauréat 2024 du "Nobel de l'architecture" allie préoccupation pour la vie privée et pour la vie sociale, dans des formes simples. France Télévisions - Rédaction Culture Publié le 05/03/2024 17:24 Temps de lecture : 1 min L'architecte japonais Riken Yamamoto, à Tokyo, le 1er avril 2011. (FRANCK ROBICHON / EPA) Le prix Pritzker, plus haute distinction mondiale de l'architecture, a été décerné mardi 5 mars au Japonais Riken Yamamoto, réputé pour son travail combinan... ...
La plus haute distinction mondiale de l'architecture a été décerné mardi à Riken Yamamoto, réputé pour son travail combinant l'architecture et des préoccupations d'ordre social, selon l'organisation basée à Chicago. Le prix Pritzker, plus haute distinction mondiale de l'architecture, a été décerné mardi au Japonais Riken Yamamoto, réputé pour son travail combinant l'architecture et des préoccupations d'ordre social, selon l'organisation basée à Chicago. «Riken Yamamoto, architecte et militant social» œuvre ... ...
« Silsersee, Maloja (Lake Sils, Maloja) » (1992), de Gerhard Richter. GERHARD RICHTER 2023 / PRIVATE COLLECTION / JON ETTER Il est parfois bien distrayant de contempler la concurrence farouche à laquelle se livrent les très grands marchands d’art internationaux. C’est encore plus réjouissant lorsque cela concerne l’artiste Gerhard Richter, célébrissime et d’autant plus hors de prix qu’à 91 ans il ne peint plus guère. Deux poids lourds de la profession, anticipant une rétrospective annoncée à la Fondation L... ...
L'avis Kanpai Ajouter à mes lieux favoris Déjà visité Les amateurs de Tadao Ando reconnaissent sa signature dès la façade épurée et tout en béton du nouveau Musée d’art d’Akita. Inauguré en 1967, le bâtiment original est relocalisé puis remplacé au début des années 2010 par une nouvelle structure réalisée l’un des architectes japonais contemporains les plus en vogue au Japon et à l’international. On retrouve en fil rouge la forme triangulaire et initiale du premier musée dont s’est ... ...
Si les séries se sont aujourd'hui fait une place au panthéon culturel, fût-il télévisuel, elles peinent toujours à voir l'histoire de l'art en peinture. Difficile, en effet, de captiver un large public avec un sujet parfois perçu comme élitiste ou rébarbatif. Une fiction a pourtant réussi à l'encadrer… avec succès ! Depuis cinq ans, L'Art du crime, dont France 2 diffuse un épisode inédit ce lundi 4 décembre, permet à des téléspectateurs toujours plus nombreux (jusqu'à 5,5 millions !) de percer les secrets de... ...
Je ne sais pas pour vous, mais personnellement, j’ai tendance à vraiment apprécier le design des différents masques de gardien de but de la LNH. La plupart du temps, le niveau de détail et la qualité des images qui les composent font ressembler à des œuvres d’art. Et parfois, cela permet aux gars d’avoir une image ou un détail qui leur est propre. Je pense notamment à Peter Budaj, qui a toujours eu une image de Ned Flanders sur ses différents masques. Maintenant, je dois avouer que j’aime particulièrement quand les joueur... ...
Connaissez-vous le rakugo ? C’est l’un des trésors culturels du Japon. Souvent méconnu en France, le rakugo est l’art traditionnel japonais du conte humoristique. Un sujet abordé dans plusieurs mangas dont "Akane-Banashi", sorti ce mois-ci chez Ki-oon. Le rakugo remonte à l'époque d'Edo (1603-1868). À l'origine, il était pratiqué par les moines bouddhistes pour transmettre des enseignements religieux de manière divertissante, tout en parlant ouvertement de la société grâce à une touche humoristique. Ils racontaient ... ...
Le rakugo, vous connaissez ? Nous non plus. Et pourtant cet art de la scène japonais a tout le potentiel pour vous émerveiller. Seul sur scène, le rakugoka est à genoux avec pour uniques accessoires un éventail et un mouchoir. Il commence, et un monde nouveau se déploie. Il raconte des histoires brèves, mordantes, pleines de rebondissements et terriblement comiques. À lui seul, en modulant sa voix d’un personnage à l’autre, en utilisant toute la palette d’émotions de son visage. À la croisée du théâtre traditionne... ...
Jun (Minako Inoue) et Masaki (Masayuki Yamamoto) dans « La Comédie humaine », de Koji Fukada. ART HOUSE L’œuvre au vitriol du Japonais Koji Fukada, 43 ans, est décidément bien sinueuse, mais ce sont précisément ses aspérités et ses arythmies qui font aussi son intérêt. Découvert en France il y a désormais dix ans avec Au revoir l’été (2013), le regard incisif de cet insatiable éreinteur des hypocrisies de la société nippone a visité bien des formes, du théâtre science-fictionnel de Sayonara (2015) à... ...
Dans le documentaire, la cinéaste Nina Menkes utilise de nombreux extraits de films pour mettre en évidence les effets effrayants du « regard masculin » dans la production cinématographique. HUGO WONG/ARD Quel est le point commun entre La Dame de Shanghaï (Orson Welles, 1947), Once Upon a Time… in Hollywood (Tarantino, 2019), Le Mépris (Godard, 1963), Raging Bull (Scorsese, 1980) et Requiem for a Dream (Aronofsky, 2000) ? Des classiques, qui ont marqué l’histoire du 7e art, parfois en sus de succès populaires. Mais... ...