Notre critique d’Amal. Un esprit libre: une enseignante s’arc-boute contre la radicalisation
Par Valérie Beck Publié il y a 1 heure, Mis à jour il y a 1 heure Dans une salle de classe transformée en arène politique et religieuse, Lubna Azabal (Amal) crève l’écran. UFO Distribution CRITIQUE - Ce film choc de Jawad Rhalib sur une professeur confrontée à la censure des extrémistes se révèle bouleversant. Et alarmant. «Lisez, posez-vous des questions, vous serez libres.» Enseignante en littérature à Bruxelles, Amal est juste une bonne professeur qui croit encore qu’elle peut ouvrir les e......
Les excellentes éditions Des Instants viennent de publier ce recueil d’Angelo Rinaldi, académicien au verbe acéré, réunissant 58 chroniques littéraires initialement parues en 1990 dans un hors-série de L’Express. Ces textes retrouvent aujourd’hui une seconde vie, à un moment où la critique littéraire semble parfois manquer de mordant. L’ouvrage est divisé en cinq sections — Un peu, Beaucoup, Passionnément, À la folie, Pas du tout — dans un esprit joueur, mais non dénué de piquant. Ceux qui, pendant leurs heur... ...
CRITIQUE - Elsa Granat revisite la célèbre pièce de Tchekhov avec la volonté d’analyser les névroses des personnages. Un exercice périlleux sauvé par la sidérante prestation de Marina Hands. Que les choses soient claires. Ce que vous allez voir n’est pas une énième mise en scène de La Mouette mais une libre adaptation de cette pièce qui en a vu d’autres. En Europe, Tchekhov a souvent été joué sur un mode dramatique. Le drame existe chez lui, mais c’est un drame à la lisière du rire dans la nuit. Cette libre adap... ...
LA CHRONIQUE DE JEAN-CHRISTOPHE BUISSON - Cette comédie hilarante traite des féministes sous toutes leurs formes, y compris masculines. Peut-on rire de tout ? Avec Michel Leclerc, esprit libre, audacieux, lucide, dupe de rien, la réponse est oui. Y compris du féminisme radical. Et pas avec des gros sabots, mais en chaussons de danse, s’il vous plaît. Avec Le Mélange des genres (en salles le 16 avril), il réussit un coup de maître digne de La Lutte des classes (2018) – où il se moquait, avec une force comique inoubliable,... ...
CRITIQUE - Avec son nouveau spectacle, l’artiste signe une splendide méditation sur l’infini et ses mirages. Ils sont là qui s’affairent en anorak à l’intérieur d’un pan de coque immense. Peut-être celui d’un cargo ? Le capitaine porte sa veste à galons et une toque en fourrure. Drôle d’équipage, sapé comme pour une expédition. Pour la démarrer, il faut basculer la coque. Ils le font ensemble, s’arc-boutant de toutes leurs forces. L’horizon qui s’ouvre est celui du grand blanc. À découvrir Une trap... ...
CRITIQUE - Tourné sans script ni scénario préétabli, le film de Mathias Mlekuz le met en scène avec son ami, partant sur les traces de son fils disparu. Un coup de cœur. Ils ont de bonnes têtes de cyclistes, ces deux-là ! L’un est plutôt enveloppé, l’autre a tout du gringalet. Ils fument, ils boivent et font volontiers ripaille dès que l’occasion se présente. L’un porte une casquette jaune élimée, l’autre un Panama défraîchi. Et voilà que ce tandem de copains se lance un défi fou et tellement touchant : refai... ...
"Ces écolos de merde" : en roue libre, Robert Ménard repris de volée par Anne-Elisabeth Lemoine - closermag
Bigflo (Bigflo et Oli) : En roue libre, il insulte ses followers sur Twitch - purepeople
L’association Le temps libre villemadais (TLV) porte réellement bien son nom puisque plusieurs adhérents profitent de leur temps libre offert par la retraite depuis de longues années et ils illustrent parfaitement la formule "L’âge est un compromis entre l’état civil, l’état de santé et l’état d’esprit". Le doyen de l’année, André Prieur (à gauche sur la photo) est, à 90 ans, en pleine possession de ses moyens, toujours élégant et on peut l’admirer régulièrement lors des cérémonies au monument aux morts puisq.. ...
L’art de s’ennuyer Temps libre illimité… et gaspillé - lapresse
17 Personnes qui ont utilisé leur temps libre pour laisser libre cours à leur imagination - sympa-sympa
Une maman apprécie son temps libre dans sa baignoire. Ce que ses chiens font ensuite fait éclater de rire des millions de personnes - newsner
CRITIQUE - La mise en scène de Marie-Ève Signeyrole apporte de la limpidité à cette histoire complexe quand la direction de Laurence Equilbey épouse la violence du propos scénique. Une belle réussite. Puissante, lisible, cohérente. Ce sont les premiers mots qui viennent à l’esprit pour qualifier la production de Médée de Cherubini, dans sa version originale française, que réalise Marie-Ève Signeyrole à l’Opéra-Comique. Bien sûr, la talentueuse metteuse en scène française a des messages à faire passer. On ne peut lui... ...
CRITIQUE - La comédienne et chanteuse joue divinement Jeanne d’Arc, mis en scène par Yves Beaunesne au Théâtre des Bouffes du Nord, à Paris. Fers aux pieds, mains le long du corps, regard habité, en veste et pantalon, Jeanne d’Arc, incarnée par Judith Chemla, est pâle, mais se tient droite. Digne et fière du haut de ses 19 ans, la Pucelle de Domrémy doit répondre de ses péchés devant ses juges, dont l’inflexible évêque de Beauvais Pierre Cauchon (Jacques Bonnaffé, méconnaissable, comme Jean-Claude Drouot en chano... ...
Bertrand Blier, disparu à l’âge de 85 ans, laisse derrière lui une filmographie unique qui a marqué le cinéma français. Fidèle à son esprit libre et à son goût pour l’irrévérence, il a constamment défié les conventions à travers des récits empreints d’humour noir, de dialogues ciselés et d’une profondeur parfois déroutante. Blier a su mêler comédie et tragédie, bousculant les codes établis pour explorer des thèmes tabous comme la sexualité, la domination, ou encore les relations humaines dans toute leur complex. ...
Obsèques de Bertrand Blier : ultime adieu au "trublion" du cinéma français après "sa dernière provoc" - francetvinfo
« Blier, Leconte, Tavernier : trois vies de cinéma » : trois réalisateurs animés par la même passion créatrice - lemonde
L’animateur affirme son opposition au remplacement de certains vitraux dans les chapelles sud de la cathédrale Notre-Dame de Paris. « On s’arc-boute sur la loi de 1905, mais personne ne la respecte », dénonce-t-il. «Je pense qu’on n’est pas près de voir ces vitraux. Et puis 4 millions d’euros, est-ce que la France les a maintenant ? », questionne Stéphane Bern dans un entretien à Ouest-France, publié le 28 décembre. L’annonce de l’artiste choisi pour concevoir les nouveaux vitraux de Notre-Dame ravive les d... ...
« Ce que le président veut, Dieu le veut », Stéphane Bern fustige l’ingérence d’Emmanuel Macron pour les vitraux de Notre-Dame - lefigaro