Notre critique de The Outrun : à consommer sans modération
CRITIQUE - L'Allemande Nora Fingscheidt s'était déjà fait remarquer avec « Benni ». Cette fois, elle met sublimement en scène Saoirse Ronan en jeune femme dépendante à l'alcool qui veut en sortir. Il paraît. Là-bas, les noyés se métamorphosent en phoques. C'est du moins ce que prétend une légende écossaise. D'autres songes traversent l'esprit de Rona. À 30 ans, cette demoiselle se réfugie dans les Orcades, ces îles où elle a grandi. Elle fuit Londres et une solide dépendance à l'alcool. Il était temps. El......
CRITIQUE - John Woo signe lui-même le remake de son polar hongkongais, transposé dans un Paris de carte postale avec Omar Sy qui se bat comme un manche. D’autres avant John Woo se sont essayés à l’auto-remake. Alfred Hitchcock (L’Homme qui en savait trop), Michael Haneke (Funny Games) ou Jean-Marie Poiré (Les Visiteurs) par exemple. Ces cinéastes étrangers, européens en l’occurrence, en profitent alors pour tourner aux États-Unis, pays de l’usine à rêves qui parfois se transforment en cauchemars. Woo, lui, transpose T... ...
Elle a débuté enfant sur les plateaux. A joué pour Greta Gerwig, Wes Anderson, Peter Jackson ou Joe Wright… Elle brille ce mois-ci dans The Outrun. Saoirse Ronan revient sur ses rôles de femmes libres et modernes. Saoirse Ronan est une nouvelle fois épatante dans The Outrun, de Nora Fingscheidt (Benni). Nous avons rencontré la comédienne irlandaise, tout juste trentenaire, pour qu'elle nous parle des films marquants de sa carrière, déjà bien remplie. The Outrun : magistrale Saoirse Ronan [critique] Reviens-moi DE JOE WRIG... ...
Cette adaptation du livre d'Amy Liptrot est portée par la comédienne américano-irlandaise Saoirse Ronan, très habitée par le magnifique personnage de Rona. France Télévisions - Rédaction Culture Publié le 01/10/2024 06:30 Temps de lecture : 3 min Saoirse Ronan dans "The Outrun" de Nora Fingscheidt, sortie le 2 octobre 2024. (UFO) Après Benni et Impardonnable, diffusé uniquement sur Netflix, The Outrun le troisième long-métrage de la réalisatrice allemande Nora Fingscheid... ...
YVous ne voudriez pas passer du temps avec le genre de personnes que vous rencontrez dans les films du réalisateur australien Justin Kurzel : le solitaire dérangé de Nitram ou les tueurs de son premier film, Snowtown, qui est sans égal. Aujourd’hui, dans The Order, Kurzel tourne son attention vers les néonazis américains et ceux qui les traquent – et, sous la forme de l’agent du FBI profondément blessé joué par Jude Law, ces derniers ne sont pas non plus les personnages les plus câlins. Présenté en compétition au Fest. ...
Les mystères continuent de s’accumuler L’Acolyte. Entre manigances jumelles, Seigneurs Sith secretset ce qui s’est réellement passé Marquesnous avons déjà beaucoup de choses à faire. Mais à partir de l’épisode 6, « Enseigner/Corrompre », une nouvelle question entre en jeu : qui était le maître Jedi de Qimir/l’Étranger (Manny Jacinto) ? VOIR ÉGALEMENT: Critique de « The Acolyte » : exactement ce dont Star Wars a besoin Comme l’Étranger le dit à Osha (Amandla Stenberg) lors de leur première confronta... ...
CRITIQUE - En s’inspirant des photos de Danny Lyon, le réalisateur de Mud et Take Shelter orchestre le tumulte d’un gang de bikers dans les années 1970. Moteur! Plus que jamais, la formule technique est appropriée. Les pots d’échappement grondent, les grosses cylindrées vrombissent. Inspiré des photos (en noir et blanc) de Danny Lyon, le film (en couleurs) s’intéresse à un gang de bikers basé à Chicago. The Bikeriders, divisé en deux parties, se compose d’interviews réalisées en 1969 et en 1973. La méthode - voix of... ...
Par Etienne Sorin Publié hier à 19:00, Mis à jour hier à 20:49 Donald Trump (Sebastian Stan) et son mentor, l’avocat véreux, Roy Cohn (Jeremy Strong). Apprentice Productions Ontario INC/Profile Productions 2 APS/Tailored Films LTD CRITIQUE - Le film d’Ali Abbasi, en compétition, dresse le portrait saisissant du jeune promoteur new-yorkais avant la tentation politique. Dans les années 1970, Donald Trump n’a pas encore les cheveux orange. Il a déjà un «gros cul», comme le lui fait remarquer Roy Cohn, avoc... ...
Les pleurs de Nicholas Sparks sont conçus de manière si fiable pour produire des flaques d’eau que « The Notebook », qui a ouvert ses portes au Schoenfeld Theatre de Broadway jeudi soir, vend des mouchoirs au comptoir des produits dérivés. Le sentiment est l’étoile polaire de cette adaptation page à scène, et ceux qui cherchent une excuse pour verser des larmes – qui ne pourrait pas en utiliser une, de nos jours ? – trouvera la comédie musicale livrée. Mais ses créateurs, dont l’auteure-compositrice-interprète ... ...
Il y a des films qui sont vraiment stupides dans le sens où ils vous rendent insatisfait et même furieux parce que leurs morceaux ne forment pas un tout satisfaisant (hum). Et puis il y a les bons films débiles, comme Dumb and Dumber, Cabin Boy, The Big Lebowski, et maintenant La gouttière, une comédie sportive qui parle ostensiblement de bowling mais qui parle en réalité de la gloire de faire des trucs stupides avec des amis. À juste titre, cette comédie dingue entre amis a été réalisée par deux frères, qui, à la fin du film,.. ...
Critique : “The Iron Claw” de Sean Durkin transforme la passion en obsession par Manuel São Bento21 décembre 2023 En tant que fan de lutte ayant grandi mais connaissant peu les générations pré-WWE, y compris la légendaire famille Von Erich, j’étais certainement intéressé par ce qu’un film biographique basé sur cette famille pourrait ajouter à mon plaisir du sport de divertissement. Je n’avais également jamais vu aucun des films précédents du réalisateur Sean Durkin (Martha Marcy May Marlène, Le nidcette année ... ...