Notre critique d’Everybody Loves Touda : le chant de l’impossible
CRITIQUE - Nabil Ayouch raconte le destin d’une jeune Marocaine qui rêve de devenir chanteuse traditionnelle. Un film trop didactique. Nabil Ayouch reste viscéralement attaché à son pays de naissance. Du Maroc, il aime mettre en avant des personnages forts et dénoncer le poids des traditions. En 2015, Much Loved décrivait sans fard le quotidien de quatre prostituées à  Marrakech. Quatre femmes tellement fortes que le film a été interdit au Maroc et que le réalisateur et son actrice principale, Loubna Abidar, ont reçu des m......
L'écrivain irlandais signe un puissant livre sur la montée de l'autoritarisme dans une Europe fragile. "Le Chant du prophète", grand roman immersif, empli d'empathie et d'engagement. Indispensable. France Télévisions - Rédaction Culture Publié le 29/12/2024 07:05 Temps de lecture : 3min Portrait de Paul Lynch, auteur du livre "Le Chant du prophète". (JOEL SAGET) Les démocraties libérales, très fragiles, sont mises à mal par les populistes d'extrême droite. L'écrivain irland... ...
L'épisode 35 - Fleurit le chant de la teinte des ères de la série animée Sengoku Yôko est désormais disponible sur la plateforme de simulcast de Crunchyroll - Animation.Voir l'épisode Synopsis de l'épisode Après la bataille, tout le monde est de retour au village, mais leurs chemins se séparent. Shinsuke, lui, a une dernière affaire à régler avec une vieille connaissance. ...
Alors que la saison 2 de "Squid Game" est sortie jeudi sur Netflix, cette série dystopique se veut le reflet critique de la société coréenne. Radio France Publié le 26/12/2024 11:00 Mis à jour le 26/12/2024 11:05 Temps de lecture : 2min La saison 1 de "Squid Game" a connu un succès dans le monde entier. (NETFLIX/YOUNGKYU PARK) Attendue avec impatience par des centaines de millions de téléspectateurs, la saison 2 de Squid Game sort jeudi 26 décembre sur Netflix. La série sud-c... ...
CRITIQUE - Le ballet d’Ukraine se produit avec un titre délibérément non russe qui souligne les belles couleurs de son répertoire. La dernière fois qu’on avait vu le ballet national d’Ukraine au Théâtre des Champs-Élysées, la guerre avait commencé six mois plus tôt. La troupe était valeureuse mais passablement désorganisée. On avait fermé les yeux sur cet aspect-là . Danser en conditions de guerre était un exploit. Les héros avaient donc été chaleureusement applaudis. Depuis, la compagnie a repris de la tenue et d... ...
CRITIQUE - Le premier film douloureux d’Anne-Sophie Bailly plonge le spectateur dans le drame d’une mère célibataire élevant seul son fils «différent», lequel rêve d’émancipation passée la trentaine... Le bleu azur d’un bassin et son fond sonore ouaté. Des microbulles qui ondoient dans l’eau au gré des courants et quelques pinceaux de lumière qui les éclairent. Une nageuse fait des longueurs au ralenti. On distingue rapidement le visage de Laure Calamy avec son bonnet de bain à fleurs. Son fils Joël (Charles Pecc... ...
CRITIQUE - L’Italien Gianluca Jodice met en scène les derniers jours de Louis XVI et Marie-Antoinette. Un film sans relief et très ennuyeux. Attention, génie. Chaque plan crie son originalité. Les images dénotent une évidente volonté de s’élever au-dessus du commerce. On n’est pas chez n’importe qui. Qu’un Italien s’empare d’un morceau de notre histoire ne choquera personne. Gianluca Jodice s’attaque aux derniers jours de Louis XVI et de Marie-Antoinette. Il y a là un sujet. Adieu, Versailles, le couple royal ... ...
CRITIQUE - Dans une France orwellienne, les prisons sont devenues virtuelles. Thriller d’anticipation, le second long-métrage d’Aude Léa Rapin s’avère percutant. Dans une France en plein chaos située dans un futur proche, la « loi sécurité totale » a été mise en place. Des activistes sont traqués par les forces de l’ordre. Ces défenseurs de la nature qualifiés d’« écoterroristes » tentent de résister face à un gouvernement qui a mis en place des nuées de drones de surveillance pour surveiller sévèrement l... ...
CRITIQUE - Au Théâtre Paris-Villette, ce spectacle ambitieux et multidisciplinaire est destiné autant au jeune public qu’aux adultes. Un show à l’américaine burlesque et tendre. Comme son nom ne l’indique pas, la famille Normal n’est pas du tout normale. Il y a les parents, Norman et Norma, leurs « 2,4 enfants », Jimmy, sa petite sœur, Dorothy, et « Bébé ». Sans oublier un chien et un poisson rouge qui parlent. Le père s’occupe du petit dernier et de la maison. Norma, savante d’une intelligence au-dessus de la... ...
CRITIQUE - Le jeune réalisateur Hiroshi Okuyama orchestre avec beaucoup de délicatesse la valse des sentiments entre trois patineurs dans le décor glacé de Hokkaido. Hiroshi Okuyama aime la neige. Pas celle qui se grisaille au bord des routes ni celle que l’on envoie par canon sur les pistes de ski. Le réalisateur japonais aime celle qui tombe si dru que des congères se creusent dans la campagne et que des lacs restent gelés tout l’hiver, comme sur l’île de Hokkaido, au Japon. Dans My Sunshine, un flocon lui suffit pour emba... ...
Après une remontada, je suis à nouveau un peu dubitative face à ce tome de violence débridée bien longuet pour une avancée plus que minime. Ryo a été enlevée et Sakata ainsi que son père adoptif se lance à la poursuite des kidnappeurs, lâchant les chevaux. Cela donne un tome d’une violence inouïe où le sang et les entrailles coulent à flot. Avis aux amateurs, pour ma part, ce fut un peu too ... Lire la critique de Oni goroshi #4 ...