Avec Dits et Inédits, l’Institut national d’histoire de l’art devient éditeur
Après avoir longtemps coédité les ouvrages issus de ses programmes de recherche ou les thèses de jeunes chercheurs, l’Institut national d’histoire de l’art lance cette année ses propres collections : « Dits » et « Inédits ». https://www.inha.fr/_contents/ametys-internal%253Asites/inha/ametys-internal%253Acontents/l-institut-national-d-histoire-de-l-art-devient-editeur-article-2/_metadata/illustration/image/page_didi.JPG?objectId=defaultWebContent%3A%2F%2Feab88cb9-afe0-44e0-92f8-d3bd410dec00 ......
Le Québec aura son Musée national de l’histoire, le MNHQ, à l’instar d’une multitude d’autres nations dans le monde. Le gouvernement promet qu’il racontera quatre siècles d’histoire québécoise, « des Premiers Peuples, en passant par les colons européens, jusqu’à aujourd’hui », avec l’objectif de gonfler de fierté les jeunes, les familles et les touristes qui le visiteront. « Il y a des journées plus le fun que d’autres en politique », a d’emblée lancé le premier ministre François Legault. « Nous p.. ...
Le Québec aura son Musée national de l’histoire (MNHQ) à l’instar d’une multitude d’autres nations dans le monde. Le gouvernement promet qu’il racontera quatre siècles d’histoire québécoise, « des premiers peuples en passant par les colons européens jusqu’à aujourd’hui », avec l’objectif de gonfler de fierté les jeunes, les familles et les touristes qui le visiteront. « Il y a des journées plus le fun que d’autres en politique, a d’emblée lancé le premier ministre François Legault. Nous pouvons déjà.. ...
C’est un Musée national de l’histoire du Québec qui verra le jour au printemps 2026 là où devait initialement apparaître le quartier général du réseau des Espaces bleus promis en 2021, puis enterré en mars dernier par le gouvernement caquiste devant l’explosion des coûts. Le MNHQ à venir, présenté comme un « legs identitaire national » par le ministre de la Culture, Mathieu Lacombe, doit raconter « à l’aide de moyens numériques et immersifs » quatre siècles d’histoire québécoise, « des premiers peuples e.. ...
C’est un Musée national de l’histoire du Québec qui verra le jour là où devait initialement apparaître le quartier général du réseau des Espaces bleus promis, puis enterré par le gouvernement caquiste, en mars dernier, devant l’explosion des coûts. Ce Musée national de l’histoire prendra forme dans le pavillon Camille-Roy du Séminaire de Québec. Le premier ministre François Legault et son ministre de la Culture, Mathieu Lacombe, doivent en faire l’annonce sur place à 13 h, jeudi. Selon une source bien au fait du do... ...
l'essentiel Sabots aux pieds, bêche à la main, François Barrau, 103 ans s’active dans son jardin... Retour dans notre chronique sur l'histoire d'un faux centenaire à Mazamet au début du XXe siècle. Après vous avoir présenté, il y a 15 jours, le géant-nain, Albert Fabre, voici le centenaire au travail ! C’est un autre phénomène que les Français du début du XXe siècle adorent et il y a une raison à cela. D’après l’Institut National d’Études Démographiques, l’espérance de vie en France en 1900 était de 42 a... ...
Un autre regard, pour une autre vision : voilà le legs aussi rare que précieux de l’historienne de l’art Esther Trépanier décédée lundi. Toute sa longue carrière, à l’université comme dans les musées, elle l’aura consacrée à éclairer les recoins oubliés et méconnus de l’histoire de l’art du Québec. Ses travaux sur les peintres juifs, les femmes artistes et les sujets urbains ont particulièrement enrichi la compréhension du complexe passage à la modernité de sa société. Elle avait préparé son entrée dans .. ...
« Le Lendemain du ramadan » (1895), d’Etienne Dinet. MUSéE D’ORSAY / RMN-GRAND PALAIS / PATRICE SCHMIDT Etienne Dinet (1861-1929) est loin d’être une figure majeure de l’histoire de l’art. Peintre orientaliste, dit-on de lui. Or, l’épithète « orientaliste » est aujourd’hui plutôt nettement péjorative. Elle sous-entend un pittoresque du Sud destiné à un public européen, des guerriers maures et des déserts pour les salons des amateurs fortunés, des odalisques et des danses du ventre pour leurs chambr... ...
Ce texte fait partie du cahier spécial Musées C’est tout un pan de la mémoire créative du pays que propose l’exposition Générations — La famille Sobey et l’art canadien, qu’abrite jusqu’au printemps le pavillon Pierre Lassonde du Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ). Une véritable leçon d’histoire de l’art que ses conservateurs jurent aussi instructive qu’accessible. L’illustre clan Sobey n’est pas seulement reconnu comme étant le propriétaire de la chaîne de supermarchés du même nom : il es... ...
En 2018, le rapport que Bénédicte Savoy avait rédigé avec Felwine Sarr, à la demande du président Macron sur la « restitution du patrimoine culturel africain » avait fait grand bruit au sein des institutions concernées. L’ancien président du Musée du quai Branly-Jacques Chirac, Stéphane Martin, avait dénoncé un « cri de haine contre le concept même de musée ». En lisant A qui appartient la beauté ? (La Découverte, 272 pages, 22 euros), le dernier livre de la professeure d’histoire de l’art à l’université . ...
Au fil des siècles, de multiples oeuvres d’art ont disparu. Alors que certaines ont été redécouvertes des décennies, voire des siècles plus tard, d’autres ont été perdues à jamais. Aujourd’hui, nous vous proposons de découvrir l’histoire des cinq plus grands vols d’oeuvres d’art de l’histoire de l’art moderne. Domaine public 1 – Le Concert – Johannes Vermeer L’un des plus grands vols de l’histoire de l’art moderne a eu lieu en mars 1990 au musée Isabella-Stewart-Gardner de Boston, à l’occas... ...