Cannes 2018 : Bertrand Bonello, président du jury des courts métrages
À l'occasion de la 71e édition du Festival de Cannes (du 8 au 19 mai), Bertrand Bonello présidera le Jury de la Cinéfondation et des courts métrages. Le cinéaste français succède au Roumain Cristian Mungiu....
Bertrand Bonello lors de la 80ᵉ Mostra de Venise, le 3 septembre 2023, au Lido de Venise. TIZIANA FABI/AFP De l’écriture jusqu’à la production, La Bête, dixième long-métrage de Bertrand Bonello, fut une longue traversée. Inventeur de formes, le réalisateur, scénariste et compositeur, auteur de L’Apollonide, souvenirs de la maison close (2011) et de Nocturama (2016), entre autres, raconte la fabrique de son film de science-fiction, qui se situe en 2044, tout en plongeant dans les vies antérieures d’une jeune f... ...
Les sorties cinéma de la semaine avec Thierry Fiorile et Matteu Maestracci : "La Bête" de Bertrand Bonello et "Daaaaaali !" de Quentin Dupieux. Radio France Publié le 10/02/2024 08:48 Temps de lecture : 8 min Léa Seydoux et George MacKay dans "La Bête" de Bertrand Bonello. (CAROLE BETHUEL) Dans La Bête de Bertrand Bonello, Gabrielle est une jeune femme qui postule dans l'administration française en 2044, mais qui pour être prise, devra se débarrasser de tout affect, de ses émot... ...
Louis (George MacKay) et Gabrielle (Léa Seydoux) dans « La Bête », de Bertrand Bonello. CAROLE BETHUEL/AD VITAM La Bête marque un retour à la « grande forme » pour l’œuvre hétéroclite de Bertrand Bonello (L’Apollonide, souvenirs de la maison close en 2011, Saint Laurent en 2014), orfèvre formaliste du cinéma français. Il intervient après deux petits films de transition qui semblent en avoir constitué le laboratoire : Zombi Child (2019), essai de série B de possession vaudoue, puis Coma (2022), plongé... ...
Adaptant "La Bête dans la jungle" d’Henry James, et partant sur les pas de "L’Année dernière à Marienbad" d’Alain Resnais, Bertrand Bonello perd son intrigue à mi-parcours. France Télévisions - Rédaction Culture Publié le 06/02/2024 06:05 Temps de lecture : 2 min Léa Seydoux et George MacKay dans "La Bête" de Bertrand Bonello (2024). (CAROLE BETHUEL) Original dans ses sujets et talentueux metteur en scène, Bertrand Bonello adapte un court roman d’Henry James en le trans... ...
Bertrand Bonello occupe depuis la fin des années 1990 une place de choix dans la galaxie du cinéma d'auteur français : celle d'un artiste confidentiel, tenté parfois par l'expérimentation la plus radicale. Avec L'Apollonide. Souvenirs de la maison close (2011) puis Saint Laurent (2014), des films hantés par le motif de la décadence, il avait déjà montré sa capacité à toucher un public plus large sans se départir de son exigence. Rien cependant ne préparait à la splendeur de La Bête, un grand film d'amour trempé dans l... ...
Par Thomas Martin | Rédacteur Grand passionné de sport, il aime bien savoir ce qui se cache dans la vie des athlètes, mais ne néglige pas pour autant les stars de cinéma ou de la chanson. Après un long périple dans le grand nord canadien, il est revenu plus déterminé que jamais pour voir ce qui se tramait chez les people de France et d’ailleurs. Après Robert Ostlund en 2023, les dirigeants du Festival de Cannes ont choisi de confier la présidence du jury de l'an prochain à une femme. Et pas n'importe laquelle... ...
Présentant les deux choses les plus effrayantes que les Français puissent imaginer : les publicités pop-up et la mort de l’Ego. Par Meg Boucliers · Publié le 30 septembre 2023 Dans le cadre de notre couverture du 48e Festival international du film de Toronto, Meg Shields passe en revue la romance de science-fiction de Bertrand Bonello, « La Bête ». Suivez avec plus de couverture dans notre Archives du Festival international du film de Toronto. Situé dans un 2044 théorique où l’IA a pratiquement éliminé les erreur... ...
Gabrielle (Léa Seydoux), dans « La Bête », de Bertrand Bonello. CAROLE BETHUEL Nous voici dans un futur proche qui promet un monde meilleur. Les humains peuvent, s’ils le souhaitent – car ils sont encore décisionnaires –, se débarrasser de leurs idées noires en purifiant leur ADN. Il leur suffit de se confier au « bras » expert de la machine à faire des piqûres, qui semble sortie d’un rêve de David Cronenberg. Une jeune femme (Léa Seydoux) hésite encore, revisite son passé, du temps où elle portait une pe... ...
Le Grand prix de la 62e Semaine de la Critique, dédiée aux premiers et deuxièmes films, a été attribué à Cannes à la Malaisienne Amanda Nell Eu pour "Tiger stripes", un film sur la puberté mêlant comédie adolescente et horreur. Article rédigé par France Télévisions Rédaction Culture Publié le 25/05/2023 11:42 Temps de lecture : 1 min. "Tiger Stripes", Grand Prix de la 62e semaine de la Critique, Cannes 2023 (Jour2fête) Un premier film qui a touché le jury de la Semaine de la Critique, ... ...
DISPARITION - L'acteur, qui fut l'un des acteurs fétiches de Luchino Visconti, est décédé jeudi en Autriche, a annoncé son agent. Une de ses dernières apparitions eut lieu à Cannes pour présenter le Saint-Laurent de Bertrand Bonello où il incarnait à la perfection le couturier vieillissant. «Un beau monstre». Le titre de Sergio Gobbi lui convenait parfaitement. Dans son autobiographie, Helmut Berger se posait en rival d'Alain Delon, ce qui était un peu réécrire l'histoire. Son physique frappait, avec ses lèvres pincées... ...