Etats des Lieux: seul en scène de Nicolas Meyrieux au Petit Palais des Glaces, Paris
Au Petit Palais des Glaces, en plein cœur de Paris, Nicolas Meyrieux revient dans un nouveau seul en scène décapant sur notre société : Etat des lieux. Ecologie, politique, humanité : un spectacle en phase avec les enjeux contemporains C’est un agent immobilier venant de l’espace qui se propose de faire chaque soir avec le public […] Retrouver l'article " Etats des Lieux: seul en scène de Nicolas Meyrieux au Petit Palais des Glaces, Paris " sur le site culturel Just Focus. ...
Le tableau, oeuvre de jeunesse du maître de l’école classique française peinte vers 1626, est estimée entre 800 000 et un million d’euros. « On ne pouvait pas imaginer que Poussin ait pu faire un sujet pareil en 1626 », indique Éric Turquin, expert d’une vente exceptionnelle. Le tableau érotique Vénus épiée par deux satyres de Nicolas Poussin est mis aux enchères ce mardi 26 novembre par la maison Ader, rapporte l’hôtel des ventes Drouot, dans une publication repérée par Franceinfo. Ce tableau estimé entre ... ...
Le 26 novembre 2024, l’Hôtel Drouot accueillera une vente exceptionnelle : Vénus épiée par deux satyres, un tableau de jeunesse du célèbre peintre Nicolas Poussin, sera proposé par la maison Ader en collaboration avec le cabinet Turquin. Estimée entre 800 000 et 1 000 000 euros, cette toile rare, mesurant 70 x 95,5 cm, se distingue par son sujet érotique, inhabituel pour Poussin. Peinte entre 1625 et 1627, cette œuvre avait disparu des radars depuis sa vente en 1943. Redécouverte dans un appartement parisien, elle a été authent. ...
Cette "Vénus épiée par deux satyres" n'a été redécouverte que très récemment. Ce tableau en grand format, rare à plus d’un titre, est estimé en 800 000 et un million d'euros. Radio France Publié le 20/11/2024 13:42 Temps de lecture : 4min "Vénus épiée par deux satyres" de Nicolas Poussin, (1625-1626). (STUDIO SEBERT) Vandalisé, caché et finalement plébiscité. Le mardi 26 novembre 2024, le tableau de Nicolas Poussin, Vénus épiée par deux satyres, sera présenté aux enc... ...
CRITIQUE - Ce chef de file du naturalisme napolitain au XVIIe siècle bénéficie d’une première rétrospective intégrale. Indigents et anormaux y émergent des ténèbres, mués en sages et en saints. Fascinant. Toute mythologie est formidable. Aussi belle que féroce, aussi fantasque que profondément humaine. C’est ce qu’a compris Jusepe de Ribera (1591-1652), peintre plus ténébreux et plus terrible encore que Caravage, son modèle. Au Petit Palais, ses personnages émergent à nouveau des ténèbres. Cela grâce à l’en... ...
Pour la première fois, le Petit Palais consacre une rétrospective au peintre espagnol Jusepe de Ribera (1591-1652), l’un des maîtres du ténébrisme baroque. Surnommé le « Caravage espagnol » pour ses compositions saisissantes et souvent sombres, Ribera a développé un style dramatique et brut, influencé par son long séjour en Italie, où il travailla à Rome et surtout à Naples. Cette exposition, ouverte dès le 4 novembre, rassemble une centaine d’œuvres, dont des tableaux majeurs, des dessins et des estampes, offrant un pano. ...
Une œuvre d’une rare qualité artistique, réalisée par Hendrick ter Brugghen, célèbre peintre néerlandais du Siècle d’or, s’apprête à être vendue aux enchères au Petit Palais du Marais de Saint-Étienne le 5 décembre prochain. Découverte lors d’une journée d’expertise, cette peinture caravagesque a été identifiée par les experts comme une pièce maîtresse de l’artiste, issue de l’école d’Utrecht. Ce courant artistique, influencé par le clair-obscur du Caravage, a vu naître des œuvres d’une intensité é. ...
Publié le 02/11/2024 22:26 Mis à jour le 02/11/2024 22:36 Temps de lecture : 1min - vidéo : 4min Musée du Petit Palais : dans les coulisses d’une exposition historique Le Petit Palais à Paris s’apprête à ouvrir une exposition phare dans quelques jours. 97 œuvres venues du monde entier mais jamais réunies. Elles sont toutes signées de l’artiste José de Ribera, peintre baroque du XVIIe siècle. (France 2) Le Petit Palais à Paris s’apprête à ouvrir une exposition phare dans quelques jours.... ...
Du 17 octobre 2024 au 5 janvier 2025, le Palais de Tokyo à Paris accueille « Praesentia », une exposition rétrospective de l’artiste Myriam Mihindou, un parcours captivant retraçant vingt ans de création artistique. L’artiste, connue pour ses explorations des thèmes de la mémoire, de la spiritualité et de l’identité, propose ici une réflexion profonde sur les récits minorisés et la guérison collective. Dans cette exposition, le terme « Praesentia » – qui renvoie à la présence, la force et la protection – prend tou.. ...
« Service », de Myriam Mihindou, au Palais de Tokyo, à Paris, en octobre 2024. AURÉLIEN MOLE/ADAGP, PARIS, 2024 L’atelier de Myriam Mihindou à Ivry, dans le Val-de-Marne, est si plein d’œuvres encadrées ou emballées et de cartons entassés qu’il ne lui reste plus, pour travailler, qu’un pan de mur et deux planches posées sur des tréteaux. Elle s’en inquiète d’autant plus qu’y reviendront, d’ici à la fin de l’année, les pièces présentées actuellement au Musée du quai Branly, à Paris, aux biennale... ...
La façade du Palais de la découverte, à Paris, lors de l’année 2014. ARNAUD ROBIN Rouvert après trois ans de chantier, le Grand Palais, monument phare de l’Exposition universelle de 1900, résonnait cet été des vivats du public en feu des Jeux olympiques. Mi-octobre, le volume sonore avait baissé à l’occasion de la foire Art Basel Paris, mais l’admiration des visiteurs restait intacte. A peine cet enthousiasme fut-il tempéré le 17 octobre par les pluies diluviennes qui se sont abattues sur la capitale, obligeant... ...