Acualités josette
Une plaque en hommage au couple de militants communistes Josette et Maurice Audin a été vandalisée, dimanche 24 janvier 2021, dans un parc de Bagnolet (Seine-Saint-Denis).
La plaque en bois portant les noms de Josette et Maurice Audin, qui fut torturé et tué par des soldats français en 1957 en Algérie, a été dévissée et remplacée par l'inscription "OAS", l'organisation armée clandestine des ultras de l'Algérie française. Sur un panneau en bois, juste à côté de la plaque, le nom du couple a été rayé au feutre noir. Joint par France Bleu Paris, la mairie confirme qu'elle va déposer plainte après cet acte "scandaleux". Une équipe a été envoyée sur place ce lundi matin et la plaque a été réparée et nettoyée.
"A Bagnolet, des nostalgiques des criminels de l'OAS ont souillé le panneau (...). Honte à ces haineux anonymes pour lesquels la guerre d'Algérie n'est jamais finie", a twitté de son côté le député LFI de Seine-Saint-Denis, Alexis Corbière.
Condamnation de l'Élysée
Josette Audin, militante communiste et anticolonialiste, vivait à quelques mètres du parc qui a été rebaptisé six mois après son décès en février 2019 en sa mémoire. En septembre 2018, Emmanuel Macron lui avait rendu visite pour reconnaître officiellement que le meurtre de son mari avait été "rendu possible" par le "système institué alors en Algérie par la France". Cette vandalisation intervient quelques jours après la publication d'un rapport de l'historien Benjamin Stora sur la colonisation et la guerre d'Algérie.
Ce lundi soir, l'Élysée a réagit officiellement à cette dégradation et dénonce "des actes lâches et indignes qui n'ont pas de place dans notre République".
La plaque en hommage aux militants communistes Josette et Maurice Audin, installée à Bagnolet (93), a été vandalisée le 24 janvier, au sein du parc qui porte leur nom. Les éléments biographiques du couple Audin inscrits sur cette plaque ont été ôtés, puis remplacés par l’inscription « OAS » (pour Organisation de l’armée secrète, une organisation politico-militaire clandestine française proche de l’extrême-droite, active de 1961 à 1962).
À Bagnolet, les nostalgiques des terroristes, assassins et séditieux de l’OAS profanent la mémoire de Josette et Maurice Audin. pic.twitter.com/y2fsA4sbqm
— Rosa Moussaoui (@Rosamoussaoui) January 24, 2021
Maurice Audin était un mathématicien, membre du parti communiste Algérien, enlevé et torturé par les Français, et dont le corps n’a jamais été retrouvé. Dès le 15 juin 1957, quelques jours après l’arrestation du militant, l’Humanité s'était saisie de l’affaire. Aux côtés de sa famille, notre journal a exigé inlassablement depuis justice et vérité.
Rapport Stora
Cette profanation intervient quelques jours après la publication du rapport Stora (lire ici notre entretien avec l'historien), qui adresse les questions mémorielles entre la France et son ancienne colonie d’Algérie. En réaction à cet acte de haine, les communistes et la Ligue des droits de l’Homme se sont rassemblés dès le lendemain à Bagnolet, ainsi que le fils des époux Audin, Pierre Audin.
La réaction de l'Elysée
Affecté par la nouvelle, Pierre Audin rappelle néanmoins qu’une demande a été formulée auprès de la RATP et du ministère des Transports, afin de débaptiser la station de métro parisienne Gallieni, et de la rebaptister Josette et Maurice Audin. « Gallieni, ce n’est pas quelqu’un à qui on a envie de rendre un hommage » argumente Pierre Audin. « C’est un boucher de la colonisation. On a plutôt envie de rendre hommage à des gens qui se sont battus contre la colonisation, comme mes parents ».
Lundi soir, l’Elysée a réagi auprès de l’AFP, qualifiant d’ « indigne » cet acte de vandalisme. « Ces actes sont lâches et indignes, et n’ont pas de place dans notre République » a appuyé l’Elysée.
La première plaque a été gribouillée, la seconde démontée et remplacée par le sigle de l'OAS renvoyant à l'Organisation de l'armée secrète. Un mouvement terroriste politico-militaire proche de l'extrême droite, créé en 1961, contre l'indépendance de l'Algérie. Ce week-end, la ville de Bagnolet a eu la stupeur de découvrir ses plaques commémoratives rendant hommage à Josette et Maurice Audin vandalisées.
Depuis juillet 2019, l'ancien parc du château a pris le nom de ce célèbre couple de militants communistes, défenseurs de l'indépendance de l'Algérie. Josette Audin, décédée en février 2019, avait passé les 25 dernières années de sa vie dans la commune. Le 13 septembre 2018, le président de la République, Emmanuel Macron, lui avait rendu visite à son domicile pour lui demander pardon, reconnaissant la responsabilité de l'Etat français dans la mort de son mari Maurice Audin, mathématicien capturé chez lui à Alger, en 1957, par des militaires en pleine guerre d'Algérie (1954-1962). Sa famille ne le reverra pas. Son corps ne sera jamais retrouvé.
A l'époque, Josette Audin porte plainte pour enlèvement et séquestration. Plainte qui aboutira à un non-lieu en 1962 en raison des décrets d'amnistie pris à la fin de la guerre d'Algérie, qui ont empêché toute possibilité de poursuite. Pendant des décennies, le commandement militaire affirmera à la famille que Maurice Audin s'est évadé.

« Les éléments recueillis au cours de l'instruction de la plainte de Josette Audin ou auprès de témoins indiquent avec certitude qu'il a été torturé », avait déclaré Emmanuel Macron en septembre 2018.
«La mémoire de la guerre d'Algérie est un sujet brûlant»
« Il s'agit d'une attaque inacceptable contre les combats pour la liberté et la justice menés par les époux Audin », a réagi ce lundi le maire (PS) de la commune Tony Di Martino sur les réseaux sociaux. La ville, qui a nettoyé les plaques ce lundi matin, va déposer plainte.
De leurs côtés, les élus locaux du parti communiste ont organisé dans l'après-midi une cérémonie en hommage au couple, auquel devait assister leur fils Pierre. « On voit bien que la question de la mémoire de la guerre d'Algérie est un sujet brûlant d'actualité. Des gens s'en prennent à la mémoire du couple Audin pour promouvoir une organisation terroriste », juge Laurent Jamet, élu d'opposition (PCF) qui avait œuvré pour la création d'un lieu en hommage au couple sur la commune.

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Un tour de l'actualité en Seine-Saint-Denis et en l'IDF
« Ce sont sûrement des crétins qui n'ont pas aimé la publication du rapport Stora… Ils se sont rappelé qu'ils avaient perdu. Il faut vraiment être stupide pour faire une chose pareille », estime de son côté Pierre Audin, le fils de Josette et Maurice.

L'histoire de ses parents est en effet au cœur du rapport « Les questions mémorielles portant sur la colonisation et la guerre d'Algérie » remise par l'historien Benjamin Stora le 20 janvier dernier à L'Elysée. Dans ce document visant à « réconcilier les mémoires » entre les deux pays à l'approche des 60 ans de l'indépendance de l'Algérie le nom de Maurice Audin est cité à près d'une trentaine de reprises.
Mais ce n'est pas la première fois que les plaques rendant hommage à ses parents sont vandalisées. « A Paris, il y a souvent des autocollants apposés sur leur plaque. À Argenteuil (NDLR : où Josette Audin a habité avant de vivre à Bagnolet) aussi. C'est encore un sujet de crispation. » En France, plus de sept millions de personnes (pieds-noirs, harkis, immigrés…) auraient un lien direct avec l'Algérie, sa colonisation, et sa guerre d'indépendance.
Publié le , mis à jour
Le mois de décembre, pour nos commerçants et artisans locaux, a vu une reprise pleine d’élan et d’espoir. Mais le couvre-feu intervenant, le tirage de la tombola (prévu le 23 décembre) qui avait été organisée entre le 1er et le 22 décembre, n’a donc pu avoir lieu. Cette opération solidaire a connu un beau succès, mobilisant fortement la clientèle. Chaque billet de tombola était vendu 2 € pour venir en aide aux commerces fortement pénalisés par les confinements de la crise sanitaire. La présidente de Lombez Chic’Ville Vanessa Torchut et la secrétaire Sandrine Montauban étaient, en cette fin de semaine, à la mairie pour procéder à ce tirage, sous la supervision amicale du maire Jean-Pierre Cot, accompagné de son adjointe Christine Beyria. C’est le maire lui-même qui tirait la tombola. Les lots offerts par les commerçants ayant participé à cette opération sont à retirer directement auprès de chacun d’eux (ils accompagnent chaque nom de gagnant cité ci-dessous).
Résultats des gagnants : Pierre Batio (salon Coiff & moi) ; Renée Berthelot (IPA) ; Véronique Bonaldo (Nathalie Bariolet esthéticienne) ; Josiane Borde et Annie Bouas (salon coiffure Evolu’tif) ; Sylvie Briol-Fabre (ORS Garage) ; Anne-France Carde (Entreprise Dupuy) ; Eliette Cassalade (Gédimat Bouchard) ; Alain Cohnor (Sottom et Fils) ; Nathalie Cuvellier (Artole Carrosserie) ; Douchane (Garage Eric Guiraud) ; Mme Dubech (Au bon marché d’ici) ; Séverine Dufréchou (Friterie chez Philippe) ; Geneviève Dumont (bon de 150 € Intermarché) ; Martine Gautier (Hélios) ; Sandrine Hequet (Montaud et fils) ; Andrée Lambert (Charcuterie Idrac) ; Françoise Lassave (Place Démarke) ; Martine Lévêque (Salon Camille) ; Simon Mamprin (Pizzeria Gabinelli) ; Valérie Moncassin (Boulangerie Morana) ; Chantal Pettigas (Boulangerie Pellis) ; Etienne Pernelle (bon de 150 € Intermarché) ; Chantal Peyranne (Ets Truillet) ; Rosita (Ets Barlan) ; Mme Roussillon (Calipresse) ; Josette Taupin (Studio 21).
L’Élysée a dénoncé un acte indigne lundi après l’acte de vandalisme à l’encontre de la plaque rendant hommage à deux communistes tués et torturés par des soldats français lors de la guerre d’Algérie.
L’Élysée a qualifié d'« indigne » l’acte de vandalisme commis lundi 25 janvier 2021 sur la plaque en hommage au couple de militants communistes Josette et Maurice Audin à Bagnolet (Seine-Saint-Denis), a indiqué la présidence.
« Ces actes sont lâches et indignes et n’ont pas de place dans notre République », a condamné l’Élysée.
La plaque en bois portant les noms de Josette et Maurice Audin, qui fut torturé et tué par des soldats français en 1957 en Algérie, ainsi que des éléments de biographie, a été dévissée et remplacée par l’inscription « OAS », l’organisation armée clandestine des ultras de l’Algérie française, a-t-on appris lundi auprès de la municipalité.
Sur un panneau en bois jouxtant la plaque, le nom du couple a été rayé au feutre noir, peut-on voir sur une photo que la municipalité a transmise à l’AFP.
À Bagnolet, les nostalgiques des terroristes, assassins et séditieux de l’OAS profanent la mémoire de Josette et Maurice Audin. pic.twitter.com/y2fsA4sbqm
— Rosa Moussaoui (@Rosamoussaoui) January 24, 2021
La gauche de la gauche scandalisée
« C’est scandaleux, nous allons porter plainte », a déclaré le maire de Bagnolet (PS) Tony Di Martino qui a indiqué qu’une équipe était sur place lundi matin pour réparer la plaque et effacer les inscriptions.
« À Bagnolet, des nostalgiques des criminels de l’OAS ont souillé le panneau […]. Honte à ces haineux anonymes pour lesquels la guerre d’Algérie n’est jamais finie », a tweeté le député LFI de Seine-Saint-Denis Alexis Corbière.
Josette Audin, militante communiste et anticolonialiste, vivait à quelques mètres du parc qui a été rebaptisé six mois après son décès en février 2019 en sa mémoire. En septembre 2018, Emmanuel Macron lui avait rendu visite pour reconnaître officiellement que le meurtre de son mari avait été « rendu possible » par le « système institué alors en Algérie par la France ».
Cette vandalisation intervient quelques jours après la publication d’un rapport de l’historien Benjamin Stora sur la colonisation et la guerre d’Algérie.
La plaque commémorative rendant hommage à Josette et Maurice Audin a été dégradée dimanche 24 janvier 2021, à Bagnolet (Seine-Saint-Denis). La Ville dépose plainte.

Durant le week-end, dimanche 24 janvier 2021, la plaque commémorative qui rend homme à Josette et Maurice Audin, à Bagnolet (Seine-Saint-Denis), a été dégradée.
À lire aussi
Le nom Audin a été raturé sur la plaque déposée dans le parc du château.
Un lieu pour honorer leur mémoire
En 2018 le conseil municipal de Bagnolet avait adopté un vœu à l’initiative du groupe communiste, afin qu’un lieu de la ville porte le nom du mathématicien Maurice Audin, militant communiste et anticolonialiste torturé et assassiné en 1957 par l’armée française en Algérie.
En février 2019, son épouse, Josette, est décédée. C’était une bagnoletaise, une femme qui s’est battue pendant plus de 61 ans pour que l’Etat reconnaisse la responsabilité de la France dans la disparition de son mari pendant la guerre d’Algérie.
Pour honorer leur mémoire et leurs combats, un lieu symbolique de la ville leur est désormais dédié.
Dépôt de plainte
La plaque expliquant l’engagement des époux Audin a été dérobée et des inscriptions faisant référence à une organisation d’extrême droite y ont été apposées.
« Il s’agit d’une attaque inacceptable contre les combats pour la liberté et la justice menés par les époux Audin. Combats que Bagnolet avait fait siens en donnant leur nom à ce parc de cœur de Ville », a déclaré le maire de Bagnolet, Tony Di Martino.
La Ville a décidé de déposer plainte.
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Publié le , mis à jour
Josette Canalis vient de recevoir le diplôme de la Médaille d’Honneur régionale, départementale et communale en récompense de ses 26 ans de bons et loyaux services rendus à notre commune en tant que conseillère municipale.
Élue depuis l’âge de 37 ans
Cette ancienne agricultrice avait 37 ans quand elle rejoint la liste du maire M. Abigand. C’est Mme Vigne, institutrice qui vient la chercher pour permettre la parité de la liste. Elle est élue de 1983 à 1989. Après ce premier mandat, elle ouvre une épicerie à Castelnaudary et préfère ne pas se représenter. En effet, entre son exploitation agricole, son commerce et ses 4 enfants, le temps passe vite. Cependant, M. Abigand est réélu maire et son mandat est très houleux, le conseil municipal doit se prononcer pour ou contre la réouverture et l’extension de la carrière Socale. Le conseil se divise et 5 démissions suivent. M. Abigand demande alors à Josette de renforcer l’équipe municipale. En 1995, c’est M. Jean Vialade alors anciennement adjoint, qui reprend les rênes de la commune. Il lui demande de figurer sur sa liste.
À la commission sociale
La voilà repartie pour 6 ans. Souriante et chaleureuse, elle participe activement à la commission sociale. Elle est aussi très présente sur les problématiques agricoles. Elle est d’ailleurs bien connue pour ses cours de cuisine de recettes traditionnelles (cassoulet, millas…). Et avec Jean-Paul Dupré, elle part même visiter l’Assemblée Nationale avec une délégation d’agriculteurs de l’Aude.
Réélue en 2008 sur la liste de Vialade
Absente pendant une mandature, elle est réélue en 2008 sur la liste de M. Vialade, et en 2014 sur celle de messieurs Chesnay et Vandercamer. Elle ne se représente pas aux dernières élections mais elle reste toujours présente dans la vie associative. C’est avec plaisir que le maire Jean-François Pouzadoux lui a remis ce certificat. Il remercie ainsi Josette pour sa gentillesse, son sourire, sa bonne humeur et sa disponibilité envers les Labécédois. Josette, quant à elle "remercie les Labécédois et les Labécédoises de la confiance qu’ils lui ont témoignée et qui lui a permis de renouveler avec succès ses mandats".
Josette Le Roux est une passionnée de peinture qui s’est ignorée pendant bon nombre d’années. Pourtant, elle avait de bonnes prédispositions, car un dessin réalisé en classe de 4e, lors d’une colle pour bavardage à l’internat du collège Sainte-Anne, à Brest, sera retrouvé par l’artiste, 20 ans plus tard, sur un mur de la cantine ! Mais Josette Le Roux ne retouchera pas un crayon ou un pinceau pendant des années.
C’est seulement au début des années 2000 qu’elle commence à suivre des cours de peinture décorative, puis aux cours du soir elle découvre l’aquarelle. Le besoin de peindre sur toile, tout d’abord à l’acrylique puis à l’huile, se fait vite sentir.
Peindre les intérieurs pour le côté intimiste s’est imposé à elle avec l’attrait de la lumière qui se pose sur les objets.
Pour sa première exposition, « Retour aux sources », elle a choisi Guilers, commune où elle a grandi.
Pratique :
Exposition « Retour aux sources » jusqu’au 28 février.
Guilthèque, 16, rue Général de Gaulle, Guilers.
Aux heures d’ouverture de la médiathèque
LEVASSEUR, Josette Plamondon
1925 - 2021
À la résidence Le Boisé, le 10 janvier 2021, à l'âge de 95 ans, est décédée dame Josette Plamondon, épouse de feu monsieur Roland Levasseur, fille de feu Raymond Plamondon et de feu Laurentine Plamondon. Elle demeurait à Québec.
Le service religieux sera célébré le mercredi 27 janvier 2021 à 11 h, en l'église Sainte-Geneviève, 3180, avenue D'Amours, Québec (Québec). Étant donné la situation actuelle reliée à la Covid-19, une limite de 25 personnes sur invitation devra être respectée à l'église et il n'y aura pas de condoléances. Le port du masque sera obligatoire pour la sécurité de tous. Elle nous a quittés pour rejoindre son beau Roland. Elle laisse dans le deuil; ses enfants: Judith (Nelson Roland), Marie- Josée (André Guy Sauvageau), Claude (Michelle Paquet) et Lucie (Denis Beaulieu); ses petits-enfants: Raymond Roland (Yvonne Zhang), Nicholas Roland (Meghan Payeur), Francis Roland, Étienne Massicotte (Ann-Frédérick Guay), François Massicotte (Carolyn Buteau), Sophie Massicotte (Benoît St-Ours), Charles-Olivier Levasseur (Samantha Labonté), Rose-Émilie Levasseur (Charles Lafortune-Gagnon) et Éloïse Levasseur (Sarah Bolduc); ses arrière-petits-enfants: Josephine, Aurélie, Anaëlle, Jacob, Zoey, Laurianne, Juliette, Léane, Rose, Antoine, William, Iris et Arthur; ainsi que ses neveux, nièces, cousins, cousines, autres parents et ami(e)s. La famille tient à remercier tout spécialement le personnel de la résidence Le Boisé particulièrement au 3e Clairière pour leur dévouement et les bons soins prodigués, de même que le personnel du 5e Château de la résidence Côté Jardins. Vos témoignages de sympathie peuvent se traduire par un don à la Société Alzheimer de Québec, 305-1040, avenue Belvédère, Québec (QC), G1S 3G3, tél.: 418-527-4294. La direction des funérailles a été confiée à Lépine Cloutier.
Pour renseignements :
ATHOS
Téléphone : 418 529-3371
Télécopieur : 418 767-2309
Courriel : info@lepinecloutier.com
Pour envois de messages
personnalisés et / ou de fleurs
ainsi que pour signer le Registre à la
mémoire de la personne décédée :
www.lepinecloutier.com

La plaque a été remplacée dimanche par l'inscription "OAS" tandis que le nom du couple a été rayé au feutre noir sur un panneau en bois juste à côté.
Une plaque en hommage au couple de militants communistes Josette et Maurice Audin a été vandalisée dimanche dans un parc de Bagnolet, en Seine-Saint-Denis, a appris l'AFP auprès de la municipalité lundi.
Remplacé par l'inscription OAS
La plaque en bois portant les noms de Josette et Maurice Audin, qui fut torturé et tué par des soldats français en 1957 en Algérie, ainsi que des éléments de biographie, a été dévissée et remplacée par l'inscription "OAS", l'organisation armée clandestine des ultras de l'Algérie française.
Sur un panneau en bois jouxtant la plaque, le nom du couple a été rayé au feutre noir, peut-on voir sur une photo que la municipalité a transmise à l'AFP.
"C'est scandaleux, nous allons porter plainte", a déclaré à l'AFP le maire de Bagnolet (PS) Tony Di Martino qui a indiqué qu'une équipe était sur place lundi matin pour réparer la plaque et effacer les inscriptions.
Un parc en mémoire de Josette Audin
"A Bagnolet, des nostalgiques des criminels de l'OAS ont souillé le panneau (...). Honte à ces haineux anonymes pour lesquels la guerre d'Algérie n'est jamais finie", a twitté le député LFI de Seine-Saint-Denis Alexis Corbière.
Josette Audin, militante communiste et anticolonialiste, vivait à quelques mètres du parc qui a été rebaptisé six mois après son décès en février 2019 en sa mémoire. En septembre 2018, Emmanuel Macron lui avait rendu visite pour reconnaître officiellement que le meurtre de son mari avait été "rendu possible" par le "système institué alors en Algérie par la France".
Cette vandalisation intervient quelques jours après la publication d'un rapport de l'historien Benjamin Stora sur la colonisation et la guerre d'Algérie.
La plaque a été remplacée dimanche par l'inscription "OAS" tandis que le nom du couple a été rayé au feutre noir sur un panneau en bois juste à côté.
L'Élysée a qualifié d'"indigne" l'acte de vandalisme commis ce lundi sur la plaque en hommage au couple de militants communistes Josette et Maurice Audin à Bagnolet (Seine-Saint-Denis), a indiqué la présidence à l'Agence France-Presse (AFP).
"Ces actes sont lâches et indignes et n'ont pas de place dans notre République", a condamné l'Elysée.
Remplacé par l'inscription OAS
La plaque en bois portant les noms de Josette et Maurice Audin, qui fut torturé et tué par des soldats français en 1957 en Algérie, ainsi que des éléments de biographie, a été dévissée et remplacée par l'inscription "OAS", l'organisation armée clandestine des ultras de l'Algérie française.
Sur un panneau en bois jouxtant la plaque, le nom du couple a été rayé au feutre noir, peut-on voir sur une photo que la municipalité a transmise à l'AFP.
"C'est scandaleux, nous allons porter plainte", a déclaré à l'AFP le maire de Bagnolet (PS) Tony Di Martino, qui a indiqué qu'une équipe était sur place lundi matin pour réparer la plaque et effacer les inscriptions.
Un parc en mémoire de Josette Audin
"A Bagnolet, des nostalgiques des criminels de l'OAS ont souillé le panneau (...). Honte à ces haineux anonymes pour lesquels la guerre d'Algérie n'est jamais finie", a twitté le député LFI de Seine-Saint-Denis Alexis Corbière.
Josette Audin, militante communiste et anticolonialiste, vivait à quelques mètres du parc, qui a été rebaptisé en sa mémoire six mois après son décès en février 2019.
En septembre 2018, Emmanuel Macron lui avait rendu visite pour reconnaître officiellement que le meurtre de son mari avait été "rendu possible" par le "système institué alors en Algérie par la France".
Cette vandalisation intervient quelques jours après la publication d'un rapport de l'historien Benjamin Stora sur la colonisation et la guerre d'Algérie.