Actualités 11
Pour cette nouvelle campagne de financement participatif, La Musardine propose Lilith de l’auteur Janevsky en édition luxe. Préquel de Sixella, Lilith est un nouvel album qui s’insère dans cet univers érotique et de science-fiction. Toutefois, l’ampleur de la tâche n’est plus la même. Contrairement au premier album qui comptabilisait 48 pages, cette nouvelle histoire de Janevsky comportera 144 pages. De quoi permettre à ce jeune auteur de déployer tout son talent. © La Musardine L’histoire relate les aventures de ... ...
Gigantesque : 149 audiences, 1800 parties civiles convoquées, 330 avocats, 141 médias, 540 tomes de dossier d’instruction dont 750 pages pour la seule ordonnance de renvoi, l’adjectif n’est pas usurpé. Sylvie Caster, autrice d’un ouvrage intitulé « 13 Novembre – Chroniques d’un procès » (Les Echappés), rédactrice de Charlie Hebdo des origines, celui de Cavanna, de Choron, de Cabu, de Wolinski… constate le changement de rapport du brûlot anticlérical de la rue des Trois Portes avec la justice. Naguère, il... ...
« Cette série est née d’une façon spéciale : elle est assez curieusement issue du "Petit Nicolas" que je faisais avec Sempé, racontait René Goscinny à Numa Sadoul et Jacques Glénat pour les Cahiers de la bande dessinée. J’avais écrit une histoire où Nicolas était en vacances dans une colonie, avec un monsieur très gentil qui racontait des histoires aux enfants. Et il leur avait raconté l’histoire d’un méchant grand vizir qui voulait toujours devenir calife à la place du calife […] Et lorsque Record est paru, e... ...
Son crime ? Un dessin du 25 novembre 2020 dans la célèbre revue humoristique LeMan, une sorte de Charlie Hebdo turc, pour illustrer le confinement imposé par le Covid-21. On voit, sous le titre : « Sexe et pandémie… », un homme le nez dans le sexe d’une femme s’exclamant : « - Ouf, pas de perte du goût et de l’odorat ! » La loi, jusqu’à présent, n’interdit pas les allusions et les représentations érotiques. L’obscénité -concept particulièrement subjectif- est cependant un élément courant de l’arsen... ...
Carlos Pacheco était une étoile des comics, et pas filante, non, un astre à lui tout seul. Sa patte est vite devenue une empreinte, dès le début des années 1990, référence pour un nombre croissant de lecteurs et tout aussi bien d’artistes. La qualité de son crayonné faisait également référence auprès des éditeurs qui y ont vu LE modèle de qualité à atteindre. On ne parle pas de sa manière de raconter les histoires, sa marque consistante et chaleureuse pour représenter les personnages les plus célèbres des comics US ... ...
Né en 1953 à Eltham, une cité ouvrière de la banlieue sud de Londres, d’un père anglais et d’une mère irlandaise, Kevin O’ Neill, obligé de travailler très jeune comme garçon de bureau dès l’âge de 16 ans pour la firme IPC et bientôt comme graphiste, coloriste et dessinateur free lance. Il collabore dès cette époque à diverses revues et fanzines, dans le domaine particulier de l’horreur. Revenant à IPC comme directeur artistique, très respectueux des artistes, il travaille en tandem avec son rédacteur en chef Pa... ...
Qu’est-ce que la série Lucky Luke ? Une parodie de western. Jadis, ce genre littéraire et cinématographique était un objet d’aventures voire de dérision mais à condition que l’on n’y vit pas de femmes, pas de noirs, pas de juifs et autres sujets qui risquaient de « démoraliser la jeunesse. » En revanche, on avait le droit de se moquer des Chinois et des Mexicains, des dandys angliches, des cuistots français et des « Red necks » texans. Puis le temps fit son œuvre. Les femmes cessèrent d’être d’affreuses vira... ...
Dans quelques jours, les 3, 4 et 5 décembre, le SoBD déploie son ambitieux programme de conférences, de tables rondes et d’expositions avec en invité principal le grand Willem comme épicentre thématique. Avec à la clé une exposition en l’honneur de son invité, composée de pièces originales illustrant les différentes étapes de la carrière d’un dessinateur à l’humour parfois noir, parfois provocateur, toujours en riposte des puissants et de leurs fausses promesses. Témoin actif de son temps, et en partie double (comme... ...
Gotlib m’appela pour le n° 4, en s’excusant de ne pas m’avoir appelé dès le départ « parce qu’il ne pouvait pas encore payer les collaborateurs » ! Mais, putain, Gotlib, tu m’appelles ! C’est ça le miracle, le fric je m’en fous, j’aurais payé pour en être ! Mais il était comme ça, toujours dans le genre modeste et culpabilisant sur les bords. Le défi était colossal : être à la hauteur... J’étais à des années lumières non seulement de lui, mais des génies de son équipe, les Alexis, Loup, Solé..... ...
Dans quelques jours, les 3, 4 et 5 décembre, le SoBD déploie son ambitieux programme de conférences, de tables rondes et d’expositions avec en invité principal le grand Willem comme épicentre thématique. Avec à la clé une exposition en l’honneur de son invité, composée de pièces originales illustrant les différentes étapes de la carrière d’un dessinateur à l’humour parfois noir, parfois provocateur, toujours en riposte des puissants et de leurs fausses promesses. Témoin actif de son temps, et en partie double (comme... ...