Actualités denisovien
— © Cicero Moraes La quête pour comprendre nos origines anciennes a toujours fasciné l’humanité. Les récentes découvertes scientifiques offrent un nouvel éclairage sur deux de nos plus mystérieux ancêtres : les Dénisoviens et Homo longi, souvent appelé « homme dragon ». Ces recherches non seulement dévoilent des connexions inattendues entre ces espèces disparues et les humains modernes, mais elles révèlent également l’importance de ces groupes dans notre propre évolution. L’énigmatique présence d... ...
— Gorodenkoff / Shutterstock.com Découvert dans le sud de la Sibérie il y a plus d’une décennie, un os fossilisé s’est avéré appartenir à une adolescente issue du croisement de deux espèces humaines distinctes d’Homo sapiens. Un témoignage unique Seul vestige connu d’un humain hybride de première génération, cet os de doigt vieux d’environ 90 000 ans avait été mis au jour en 2012 dans une grotte des montagnes de l’Altaï, connue pour abriter des témoignages fossiles de Dénisoviens, Néandertalien... ...
— Gorodenkoff / Shutterstock.com De nouvelles recherches indiquent que la modification de l’orbite de la Terre autour du Soleil il y a des centaines de milliers d’années a entrainé des bouleversements climatiques majeurs, ayant permis aux Néandertaliens et aux Dénisoviens d’étendre leurs habitats et de se rencontrer. Retracer l’évolution des schémas de répartition des deux espèces À l’échelle de dizaines, voire de centaines de milliers d’années, diverses espèces humaines ont été amenées à se cro... ...
Les restes fossilisés de la femme toaléenne, baptisée « Bessé » — © Carlhoff et al. / Nature / 2021 Pour la première fois, de l’ADN a été extrait des ossements d’un individu ayant vécu sur l’île indonésienne de Sulawesi durant l’âge de pierre. De telles informations génétiques nous éclairent sur la préhistoire des îles d’Asie du Sud-Est, et notamment sur ce qui s’est passé lorsque notre espèce, Homo sapiens, est arrivée dans la région. Les premiers restes fossilisés d’une femme toaléenn... ...
— life_in_a_pixel / Shutterstock.com Une nouvelle analyse de génomes néandertaliens suggère que le sang qui circulait dans les veines de cette population d’humains archaïques avait plus de points communs avec le sang humain moderne que les scientifiques ne l’estimaient auparavant. « Les groupes sanguins des globules rouges sont des marqueurs anthropologiques puissants » Alors que l’on estimait jusqu’à présent que les Néandertaliens possédaient tous le groupe sanguin O, une récente étude génomique a mis ... ...
— vitstudio / Shutterstock.com L’Homme moderne existe depuis 350 000 ans environ. Bien que nous ayons continué à évoluer et que notre ADN ait également été amené à changer au cours de cette période, de nouvelles recherches suggèrent que seul un faible pourcentage du génome humain nous est propre. Des résultats surprenants Conçu par des chercheurs de l’université de Californie, l’outil Speedy Ancestral Recombination Graph Estimator (SARGE) vise à estimer l’ascendance des individus. Dans le cadre de tra... ...
C’est maintenant prouvé : les Néandertaliens mangeaient du poisson, des moules et des phoques. Ce constat est le résultat d’une étude faite récemment sur le site de Figueira Brava, au Portugal. Poissons et requins au menu du Néandertalien Cette nouvelle découverte s’ajoute aux nombreuses études existantes attestant de l’importance des produits de la mer dans l’alimentation de nos lointains ancêtres. À l’époque préhistorique, les hommes comptaient beaucoup sur les ressources marines pour se nourrir, tout c... ...