Cannes 2023 : la Semaine de la critique consacre l’irrévérence du film malaisien « Tiger Stripes »
C’est le premier palmarès du 76e Festival de Cannes. La Semaine de la critique, qui réunit les premiers et deuxièmes longs-métrages de jeunes auteurs que l’on retrouve, pour certains, en sélection officielle des années plus tard, s’est achevée mercredi 24 mai. En lice : onze films dont sept en compétition, retenus parmi un millier provenant du monde entier. Le jury, présidé cette année par la scénariste et réalisatrice Audrey Diwan, n’a semble-t-il pas longtemps hésité, attribuant à l’unanimité le Grand Prix à Ti......
« La Pampa » d’Antoine Chevrollier. AGAT FILMS Lire plus tard Google Actualités Partager Masquer ce message Facebook Twitter E-mail Copier le lien Envoyer Temps de lecture : 1 min. En accès libre Drame par Antoine Chevrollier, avec Sayyid El Alami, Amaury Foucher (France, 1h43). En salle le 5 février ★★★★☆ Présenté à la Semaine de la Critique au Festival de Cannes en mai dernier, le premier film d’Antoine Chevrollier a marqué l... ...
![« La Pampa » : un grand premier film sur l’adolescence, porté par un casting de haute volée](https://cacheimg.twitube.top/i.php?img=https://focus.nouvelobs.com/2025/01/29/0/335/2194/1097/640/320/60/0/6b66fdb_sirius-fs-upload-1-lsnr3er2obd4-1738143648747-la-pampa-photo2.jpg&key=e18b84d4af0d046a03ad5fcf125a1c53)
CRITIQUE - Version moderne de «Roméo et Juliette», le film de Jean-Dominique Marlin met en scène deux clans qui s’affrontent et des jeunes qui s’aiment dans un quartier difficile de Marseille. Entre naturalisme et fantastique. Le film Salem arrive en salle après bien des péripéties. Le deuxième long-métrage de Jean-Bernard Marlin était très attendu à Cannes en 2023, après Shéhérazade, histoire d’amour inflammable entre deux minots des quartiers populaires de Marseille, l’une des sensations de l’année 2018 avec sa... ...
![Notre critique de Salem, prophète en son quartier](https://cacheimg.twitube.top/i.php?img=https://i.f1g.fr/media/eidos/630x354_crop/2024/05/28/XVM7645596e-1cec-11ef-b892-dd1b20a2f43b.jpg&key=4d4b06b9bd3990fa3266ffc129c9abdd)
CRITIQUE - Le film de l’Indienne Payal Kapadia montre les carcans qui emprisonnent les femmes dans son pays. Depuis 2013, quel film indien a marqué nos esprits? Cette année-là, The Lunchbox, premier long-métrage de Ritesh Batra, était présenté à la Semaine de la critique à Cannes, où il fut très bien accueilli. Depuis, l’industrie cinématographique indienne reste la plus prolifique du monde avec quelque 1 500 films par an. Parmi eux, All We Imagine as Light, de l’Indienne Payal Kapadia, s’est hissé dans la liste conv... ...
![Festival de Cannes: avec All We Imagine as Light, les reines de Mumbai remportent le grand prix](https://cacheimg.twitube.top/i.php?img=https://i.f1g.fr/media/eidos/630x354_crop/2024/05/24/XVMfba2a776-18e9-11ef-880e-5cd531d94855.jpg&key=9a8d5ab091d6e6a4d3df92889e09c0af)
CRITIQUE - En compétition, le film de l’Indienne Payal Kapadia montre les carcans qui emprisonnent les femmes dans son pays. Depuis 2013, quel film indien a marqué nos esprits? Cette année-là, The Lunchbox, premier long-métrage de Ritesh Batra, était présenté à la Semaine de la critique à Cannes, où il fut très bien accueilli. Depuis, l’industrie cinématographique indienne reste la plus prolifique du monde avec quelque 1 500 films par an. Parmi eux, All We Imagine as Light, de l’Indienne Payal Kapadia, s’est hissé d... ...
![Festival de Cannes: notre critique de All We Imagine as Light, les reines de Mumbai](https://cacheimg.twitube.top/i.php?img=https://i.f1g.fr/media/eidos/630x354_crop/2024/05/24/XVMfba2a776-18e9-11ef-880e-5cd531d94855.jpg&key=9a8d5ab091d6e6a4d3df92889e09c0af)
Simon (Lorenzo Ferro) dans « Simon de la Montaña », de Federico Luis. ARIZONA DISTRIBUTON Le syndrome du succès d’Un p’tit truc en plus, d’Artus (plus de trois millions d’entrées en salle), aurait-il atteint le jury de la Semaine de la critique, présidé cette année par la productrice Sylvie Pialat ? C’est un film scrutant les frontières du handicap, Simon de la montaña, de l’Argentin Federico Luis, qui a remporté le Grand Prix, mercredi 22 mai, à l’issue de la 63e édition de la section parallèle ... ...
![Cannes 2024 : la Semaine de la critique récompense un film argentin sur le handicap](https://cacheimg.twitube.top/i.php?img=https://img.lemde.fr/2024/05/23/0/0/2000/1000/644/322/60/0/4c1f511_1716452401778-simon-de-la-montana-1-2000x1200.jpg&key=4c99b8b911bf7c0acde3f0c60e9ce9db)
Le jury de la 63e Semaine de la Critique présidé par la productrice française Sylvia Pialat a décerné le Grand prix au premier long métrage du réalisateur et scénariste Federico Luis. Tout un symbole, alors que le cinéma argentin, et la culture en général, subissent les attaques du président ultralibéral Javier Milei. France Télévisions - Rédaction Culture Publié le 23/05/2024 11:19 Temps de lecture : 1 min "Simón de la montaña" de Federico Luis lauréat du Grand prix de la Sema... ...
Par Eric Neuhoff Publié il y a 10 heures, Mis à jour il y a 1 minute Paolo Sorrentino. FADEL SENNA/AFP CRITIQUE - Habitué de Cannes, Paolo Sorrentino revient en compétition avec un film sur la beauté. Soudain, la beauté. Elle foudroie. D’un revers de caméra, Paolo Sorrentino repousse la trivialité du monde. Descendons vers le sud. La maison donne sur la baie de Naples. C’est un palais décati, témoin d’une splendeur passée. Au loin, une barge transporte un carrosse porté en provenance de Versailles. Il ... ...
![Festival de Cannes: notre critique de Parthenope, voir Naples et se laisser séduire](https://cacheimg.twitube.top/i.php?img=https://i.f1g.fr/media/eidos/630x354_crop/2024/05/22/XVM6065bd46-178d-11ef-880e-5cd531d94855.jpg&key=c11fb82ec90aad8f9f5058981286a605)
CRITIQUE - Habitué de Cannes, Paolo Sorrentino revient en compétition avec un film sur la beauté. Soudain, la beauté. Elle foudroie. D’un revers de caméra, Paolo Sorrentino repousse la trivialité du monde. Descendons vers le sud. La maison donne sur la baie de Naples. C’est un palais décati, témoin d’une splendeur passée. Au loin, une barge transporte un carrosse porté en provenance de Versailles. Il servira de lit. Le maire, qui se croit chez lui, porte un costume blanc. Il parle tout le temps et en contemplant le ventre r... ...
![Festival de Cannes: notre critique de Parthenope,voir Naples et se laisser séduire](https://cacheimg.twitube.top/i.php?img=https://i.f1g.fr/media/eidos/630x354_crop/2024/05/22/XVM6065bd46-178d-11ef-880e-5cd531d94855.jpg&key=c11fb82ec90aad8f9f5058981286a605)
Antoine Chevrollier et son équipe à Cannes, pour le film La Pampa, le 19 mai 2024. CHRISTOPHE SIMON/AFP CRITIQUE - Présenté à la Semaine de la critique, le premier film d’Antoine Chevrollier met en scène des ados désœuvrés dans l’univers du motocross. C’est un premier film dont le souvenir vibrionne comme le bruit d’un bourdon collé à la vitre. La Pampa, d’Antoine Chevrollier, situe son intrigue dans l’univers testostéroné du motocross. On ne peut pas faire moins raffiné. Dans un bourg paumé de l... ...
![Festival de Cannes: notre critique de La Pampa, à vrombir de plaisir](https://cacheimg.twitube.top/i.php?img=https://i.f1g.fr/media/eidos/630x354_crop/2024/05/21/XVM360f9418-1792-11ef-880e-5cd531d94855.jpg&key=53442ad57de0e5297c39d5ad073095e9)
Le hasard des calendriers a voulu que deux comédies musicales queers soient projetées en première mondiale, ce samedi, au Festival de Cannes. D'un côté, Emilia Perez de Jacques Audiard, une épopée époustouflante chez les narcos mexicains, en compétition officielle. De l'autre, Les Reines du drame, premier long-métrage d'Alexis Langlois, à la Semaine de la critique. Cette dernière compétition nous régale d'un cru exceptionnel, concocté par la directrice déléguée Ava Cahen et ses équipes, comme le magnifique La Mer au loi... ...
![Bilal Hassani dans le film le plus trash et le plus drôle du Festival de Cannes](https://cacheimg.twitube.top/i.php?img=https://www.lepoint.fr/images/2024/05/19/26580732lpw-26580733-article-jpg_10310499.jpg&key=51ad7062956b164e5ae7857c5170a266)