Critique de Barry Manilow – le maître doux glisse à travers ses tubes avec grâce | Barry Manilow
Tvoici la jubilation dans l’air ce soir. Des dizaines de milliers de supporters de Manchester City se rassemblent sur le campus d’Etihad dans une mer bleue alors qu’ils célèbrent leur victoire en Premier League. Dans l’autre sens, vers la nouvelle arène Co-Op Live, une foule parsemée de chapeaux de cowboy roses et de t-shirts de Barry Manilow se rassemble pour voir l’homme de 80 ans effectuer sa dernière tournée (six ans plus tard de sa précédente tournée « finale », One Last Time). Des bâtons lumineux verts scintillants......
L'épisode 12 - Un doux rêve de la série animée Delico's Nursery est désormais disponible sur la plateforme de simulcast de Crunchyroll - Animation.Voir l'épisode Synopsis de l'épisode Pour Juras, le temps est compté. Lorsqu’il tombe enfin nez à nez avec TRUMP, il laisse éclater sa rage. Mais il a beau s’acharner sur sa proie, il en faut bien plus pour venir à bout du vampire originel. Guidés par les pleurs d’Ul, Dali et ses amis ne tardent pas à se mêler du conflit. ...
CRITIQUE - L’inoubliable interprète de The Artist fait un retour réussi au Théâtre Marigny avec le roman autobiographique de Maria Larrea. Un seul-en-scène de qualité. Dans l’adaptation théâtrale des Gens de Bilbao naissent où ils veulent (Le Livre de Poche), Bérénice Bejo prête sa voix à l’auteur, Maria Larrea. Une fille de « cinglés », deux émigrés qui ont fui l’Espagne de Franco. « Née de l’ombre d’une femme », l’héroïne part en quête de ses origines et de son identité. Johanna Boyé et É... ...
Avec « Les gens de Bilbao naissent où ils veulent », Bérénice Bejo s’expose à l’exercice périlleux du seule-en-scène - lemonde
"Le théâtre me convient parce qu'il y a beaucoup de travail" : Bérénice Bejo seule en scène au Théâtre Marigny - francetvinfo
ONPC : Bérénice Bejo sexy, sa tenue courte et ses jambes affolent les téléspectateurs (Vidéo) - Non-stop-zapping
Publiée dans Raw, saluée par la critique internationale et reconnue par ses paires comme étant une des plus grandes autrices contemporaines, Lynda Barry est étrangement peu connue en France. Il est notamment particulièrement étonnant qu’aucun éditeur ayant émergé dans les années 90 (L’association, Ego comme X, Amok, Fréon, etc.) ne se soit jamais emparé de la traduction de son œuvre, alors qu’elle se serait parfaitement intégrée à leur catalogue. Seul çà et là avait publié Mes cent démons il y a dix ans. L’... ...
La collection capsule Teenage Dream de Salut Beauté remet les années 90 au goût du jour ! - public
Vancouver, la seule étape canadienne annoncée pour la tournée nord-américaine 2024 des Rolling Stones - lesactualites
CRITIQUE - Alice Zeniter propose une relecture trop libre de Martin Eden. On peine à saisir ses intentions à travers une mise en scène laborieuse qui tient le public à distance. Nous étions à la première, mardi, à la Comédie de Valence dans la Drôme. « La littérature ne sera jamais aussi violente que la vie », répète Edène (Camille Léon Fucien), pas très convaincue. La jeune femme rêve d’écrire, mais a du mal à joindre les deux bouts. Le jour où elle tombe amoureuse de Rose (Leslie Bouchet) qui, elle, n’a aucun s... ...
CRITIQUE - Au Théâtre du Petit Saint-Martin, l’adaptation poignante du best-seller de Panayotis Pascot avec Vassili Schneider touche le public. Courez-y ! Le héros narrateur, prodigieux Vassili Schneider, compare son « cas » à celui d’un jeune hérisson qui, pour survivre, doit garder une distance avec ses congénères. Là, il s’agit de son paternel taiseux de nature dont il attend, en vain, un mot ou un geste de tendresse. Capuche sur la tête, en jogging et baskets, dans une salle d’attente d’hôpital, le jeune homme ... ...
La prochaine fois que tu mordras la poussière ou la quête du sens - justfocus
Panayotis Pascot, La Prochaine fois que tu mordras la poussière: «J’ai écrit pour dormir la nuit» - lefigaro
CRITIQUE - Présenté en compétition officielle à Cannes, le premier film d’Agathe Riedinger impressionne par sa maîtrise. Il révèle aussi la jeune actrice Malou Khebizi en adolescente qui rêve d’intégrer une émission de téléréalité à tout prix. Les candidates des émissions de téléréalité seraient-elles les nouvelles princesses des temps modernes ? Notre époque produit les héroïnes qu’elle mérite. Voilà le message qui irrigue sobrement le premier film d’Agathe Riedinger, présenté en compétition officiel... ...
CRITIQUE - Avec cet hymne à la résilience musical, le premier film de Frédéric et Valentin Potier touche juste. Camille Razat et Mélanie Robert sont formidables en jumelles pianistes de compétition. Elles sont jumelles et poussées par leur père à devenir les meilleures pianistes du monde. Claire et Jeanne Vallois pratiquent le piano comme un sport de combat. Il n’est qu’à écouter le battement rapide du métronome posé sur le piano pour s’en convaincre. Le tempo est donné. Premier film réalisé par un surprenant tand... ...
CRITIQUE - Ce film de Gilles Bourdos réussit l’exploit de filmer Vincent Lindon pendant une heure et quart au volant de sa voiture sans jamais nous ennuyer. L’acteur y tient un rôle taillé pour lui : celui d’un homme à qui tout réussit et qui lâche les amarres après un coup de fil. Moteur ! On imagine que le premier jour, le réalisateur Gilles Bourdos a lancé le mot fatidique. Il faut le prendre ici au pied de la lettre. Durant une heure un quart, Vincent Lindon (qui incarne Joseph) ne quitte pas sa voiture. Un coup de... ...
La section de Québec de l’Association québécoise des critiques de théâtre (AQCT) a dévoilé lundi les lauréats des Prix de la critique. La pièce Dimanche à Sodome s’est démarquée en recevant des récompenses dans trois catégories. Écrite par le Canadien Jordan Tannahill et traduite par Olivier Sylvestre, Dimanche à Sodome s’est vu décerner le prix du meilleur spectacle. Cette production des Écornifleuses, présentée au Périscope en mars dernier, est une relecture féministe du récit de la Genèse décrivant la colè.. ...
Vanessa Paradis “choquée” par le prix des places de sa pièce de théâtre - closermag
CRITIQUE - Pour son premier film en tant que réalisateur, le comédien plonge avec poésie et sincérité dans le quotidien des clowns au chevet des enfants malades. Auteur d’un court-métrage Pitchoune présenté à Cannes en 2015, Reda Kateb a pris son temps pour revenir derrière la caméra et signer son premier long-métrage, Sur un fil. Ce portrait des clowns au chevet des enfants malades est délicat et poétique. À l’image de Reda Kateb qui réalise un périlleux numéro d’équilibrisme entre rire, légèreté et doux-amer. ... ...
Cahors. Numéro d'équilibriste au-dessus du gouffre de Padirac dans le Lot - La depeche insolite