Critique comparative « Les Proies »: D.Siegel (1971) et S.Coppola (2017)
Cette année, la réalisatrice américaine Sofia Coppola a choisi de porter à l’écran le roman de Tomas Cullinan, Les Proies, qui relate l’histoire d’un soldat nordiste blessé et recueilli dans un pensionnat pour jeunes filles, dans le fin fond de la Virginie, lors de la guerre de Sécession. Une première adaptation avait déjà été réalisée […] Retrouver l'article " Critique comparative « Les Proies »: D.Siegel (1971) et S.Coppola (2017) " sur le site culturel Just Focus. ...
CRITIQUE - L’inoubliable interprète de The Artist fait un retour réussi au Théâtre Marigny avec le roman autobiographique de Maria Larrea. Un seul-en-scène de qualité. Dans l’adaptation théâtrale des Gens de Bilbao naissent où ils veulent (Le Livre de Poche), Bérénice Bejo prête sa voix à l’auteur, Maria Larrea. Une fille de « cinglés », deux émigrés qui ont fui l’Espagne de Franco. « Née de l’ombre d’une femme », l’héroïne part en quête de ses origines et de son identité. Johanna Boyé et É... ...
Avec « Les gens de Bilbao naissent où ils veulent », Bérénice Bejo s’expose à l’exercice périlleux du seule-en-scène - lemonde
"Le théâtre me convient parce qu'il y a beaucoup de travail" : Bérénice Bejo seule en scène au Théâtre Marigny - francetvinfo
ONPC : Bérénice Bejo sexy, sa tenue courte et ses jambes affolent les téléspectateurs (Vidéo) - Non-stop-zapping
CRITIQUE - Au Théâtre du Petit Saint-Martin, l’adaptation poignante du best-seller de Panayotis Pascot avec Vassili Schneider touche le public. Courez-y ! Le héros narrateur, prodigieux Vassili Schneider, compare son « cas » à celui d’un jeune hérisson qui, pour survivre, doit garder une distance avec ses congénères. Là, il s’agit de son paternel taiseux de nature dont il attend, en vain, un mot ou un geste de tendresse. Capuche sur la tête, en jogging et baskets, dans une salle d’attente d’hôpital, le jeune homme ... ...
La prochaine fois que tu mordras la poussière ou la quête du sens - justfocus
Panayotis Pascot, La Prochaine fois que tu mordras la poussière: «J’ai écrit pour dormir la nuit» - lefigaro
CRITIQUE - Présenté en compétition officielle à Cannes, le premier film d’Agathe Riedinger impressionne par sa maîtrise. Il révèle aussi la jeune actrice Malou Khebizi en adolescente qui rêve d’intégrer une émission de téléréalité à tout prix. Les candidates des émissions de téléréalité seraient-elles les nouvelles princesses des temps modernes ? Notre époque produit les héroïnes qu’elle mérite. Voilà le message qui irrigue sobrement le premier film d’Agathe Riedinger, présenté en compétition officiel... ...
CRITIQUE - Avec cet hymne à la résilience musical, le premier film de Frédéric et Valentin Potier touche juste. Camille Razat et Mélanie Robert sont formidables en jumelles pianistes de compétition. Elles sont jumelles et poussées par leur père à devenir les meilleures pianistes du monde. Claire et Jeanne Vallois pratiquent le piano comme un sport de combat. Il n’est qu’à écouter le battement rapide du métronome posé sur le piano pour s’en convaincre. Le tempo est donné. Premier film réalisé par un surprenant tand... ...
CRITIQUE - Ce film de Gilles Bourdos réussit l’exploit de filmer Vincent Lindon pendant une heure et quart au volant de sa voiture sans jamais nous ennuyer. L’acteur y tient un rôle taillé pour lui : celui d’un homme à qui tout réussit et qui lâche les amarres après un coup de fil. Moteur ! On imagine que le premier jour, le réalisateur Gilles Bourdos a lancé le mot fatidique. Il faut le prendre ici au pied de la lettre. Durant une heure un quart, Vincent Lindon (qui incarne Joseph) ne quitte pas sa voiture. Un coup de... ...
La section de Québec de l’Association québécoise des critiques de théâtre (AQCT) a dévoilé lundi les lauréats des Prix de la critique. La pièce Dimanche à Sodome s’est démarquée en recevant des récompenses dans trois catégories. Écrite par le Canadien Jordan Tannahill et traduite par Olivier Sylvestre, Dimanche à Sodome s’est vu décerner le prix du meilleur spectacle. Cette production des Écornifleuses, présentée au Périscope en mars dernier, est une relecture féministe du récit de la Genèse décrivant la colè.. ...
Vanessa Paradis “choquée” par le prix des places de sa pièce de théâtre - closermag
CRITIQUE - À la Scala, la nouvelle pièce de la talentueuse Kelly Rivière met en scène une enseignante face à un lycéen qui rêve d’argent facile. Percutant et jubilatoire. Dans son spectacle Si tu t’en vas, mis en scène par Philippe Baronnet, la talentueuse dramaturge Kelly Rivière dépeint un face-à-face entre une enseignante de lycée, Mme Ogier (interprétée par l’auteur), et un élève réfractaire aux études qui n’a qu’un seul désir : se faire du fric et partir à Dubaï se la couler douce. Son modèle ? Le mi... ...
Pete Hegseth en 2016 à la Trump Tower à New York EVAN VUCCI/AP/SIPA Lire plus tard Google Actualités Partager Masquer ce message Facebook Twitter E-mail Copier le lien Envoyer Temps de lecture : 1 min. En accès libre Le présentateur de Fox News Pete Hegseth, choisi mardi par Donald Trump pour prendre la tête du ministère américain de la Défense, a été accusé en 2017 d’agression sexuelle, selon la police. Aucune plainte n’avait été dépos... ...
États-Unis : le leader des Guns N' Roses, Axl Rose, accusé d’agression sexuelle - lepoint_culture
GRAND ENTRETIEN - À 85 ans, le réalisateur du Parrain et d’Apocalypse Now revient avec Megalopolis, une fresque qui transpose une épopée romaine dans une Amérique moderne. Rencontre avec un cinéaste combatif. Le retour à Cannes en mai dernier de Francis Ford Coppola ne pouvait pas passer inaperçu. Son Megalopolis a divisé la critique. La controverse semble avoir rendu le double palmé d’or - Conversation secrète, en 1974, et Apocalypse Now , en 1979 - encore plus combatif. Mais c’est un Coppola serein et généreux que l... ...
CRITIQUE - Conteur baroque d'un récit impur, marionnettiste ivre de sa puissance fictionnelle, Coppola s'emmêle parfois les fils. La marque d'un jeune réalisateur de 85 ans qui considère le cinématographe comme un vertige et non un vestige. Le spectateur sort de Megalopolis comme on descend d'un grand huit. Chancelant, sonné, groggy, fasciné par un flux d'images et de sons, chromo carnavalesque sur un fil, entre fable et farce, grotesque et sublime, kitsch et clinquant, pompe et pop. À l'heure où l'anémie règne sur les... ...
