Critique « Coeurs Purs » de Roberto De Paolis : un premier long métrage très prometteur
Cœurs Purs est un film au scénario très simple : une histoire d’amour dans l’Italie actuelle, où classe moyenne et classe populaire se mêlent. Un scénario très épuré qui laisse place à la mise en scène juste, sans emphase ; chose très rare pour une première réalisation. Une forte inspiration du cinéma des frères Dardenne Le concept Dardenne […] Retrouver l'article " Critique « Coeurs Purs » de Roberto De Paolis : un premier long métrage très prometteur " sur le site culturel Just Focus. ...
My Hero Academia revient sur grand écran. Après trois premiers volets de grande qualité (retrouvez ici nos critique du 1, 2 et 3) les héros du manga de Kohei Horikoshi reviennent pour un nouveau (et peut être dernier ) long métrage. Toujours réalisé par le studio Bones, ce film s’inscrit totalement dans la continuité du manga, une sacrée prouesse, tout en restant parfaitement accessible pour un public novice. Servi par une réalisation graphique excellente, ce 4ème opus est un petit bijou. Héros au bord de la crise de nerf ... ...
CRITIQUE - Le second long-métrage de Letton Gints Zilbalodis met en scène un chat solitaire évoluant dans un monde étrangement similaire au nôtre. Onirique, imaginatif, toujours en mouvement, voici un film d’animation d’un nouveau genre. Flow s’apparente en effet à une expérience sensorielle inédite. Comment ne pas s’émerveiller devant le second film d’animation du jeune Letton Gints Zilbalodis (Ailleurs) ? Projeté à Cannes dans la section Un certain regard, ce surprenant chef-d’œuvre sensoriel et immersif rac... ...
CRITIQUE - Pour son premier film en tant que réalisateur, le comédien plonge avec poésie et sincérité dans le quotidien des clowns au chevet des enfants malades. Auteur d’un court-métrage Pitchoune présenté à Cannes en 2015, Reda Kateb a pris son temps pour revenir derrière la caméra et signer son premier long-métrage, Sur un fil. Ce portrait des clowns au chevet des enfants malades est délicat et poétique. À l’image de Reda Kateb qui réalise un périlleux numéro d’équilibrisme entre rire, légèreté et doux-amer. ... ...
CRITIQUE - Dans le premier long-métrage de Lucie Prost, un jeune ingénieur expatrié à Berlin revient dans la maison familiale régler une douloureuse affaire. Une façon de traiter le passage à l’âge adulte avec délicatesse. Léo (Finnegan Oldfield, tout en justesse inquiète) n’est pas dans son élément. Au cœur d’une soirée berlinoise arrosée, rythmée par de la musique techno assourdissante, alors qu’il embrasse une jeune femme désireuse d’aller plus loin, le jeune ingénieur brillant et fêtard ne sait plus très ... ...
Par Thomas Martin | Rédacteur Grand passionné de sport, il aime bien savoir ce qui se cache dans la vie des athlètes, mais ne néglige pas pour autant les stars de cinéma ou de la chanson. Après un long périple dans le grand nord canadien, il est revenu plus déterminé que jamais pour voir ce qui se tramait chez les people de France et d’ailleurs. Dans l'émission Rothen s'enflamme, Christophe Dugarry s'est montré particulièrement critique envers certaines attitudes des joueurs de l'équipe de France. Sur les réseau... ...
CRITIQUE - Pour son 24e long-métrage, le réalisateur change une fois de plus de genre. Pour un film à ellipses mais fort surprenant. Tourner chaque nouveau film « contre » le précédent. François Ozon a retenu l'adage de François Truffaut. Il a tout intérêt, de crainte de se lasser et de lasser le public. Un rapide coup d'œil sur Wikipédia confirme le stakhanovisme d'Ozon. Depuis 1998, le quinquagénaire a signé vingt-trois longs-métrages, en variant les genres, les époques et les tons (Sitcom, Sous le sable, Huit ... ...
CRITIQUE - Pour son premier long-métrage, Simon Bouisson signe un techno-thriller paranoïaque qui pointe les dérives d'une société sous surveillance permanente. Le spectateur entre dans le film comme par effraction. Paris la nuit déploie ses charmes troubles et scintillants. Dans un séduisant plané-chaloupé, l'œil de la caméra se dirige vers le quinzième étage d'un immeuble périphérique. On perçoit distinctement le feulement intriguant de ce drone qui se plante devant les baies vitrées de l'appartement de la jeune h... ...
CRITIQUE - Pour son 24e long-métrage, le réalisateur change une fois de plus de genre. Pour un film à ellipses mais fort surprenant. Tourner chaque nouveau film « contre » le précédent. François Ozon a retenu l'adage de François Truffaut. Il a tout intérêt, de crainte de se lasser et de lasser le public. Un rapide coup d'œil sur Wikipédia confirme le stakhanovisme d'Ozon. Depuis 1998, le quinquagénaire a signé vingt-trois longs-métrages, en variant les genres, les époques et les tons (Sitcom, Sous le sable, Huit ... ...
CRITIQUE - Le dernier long-métrage de Sophie Fillières, décédée en 2023, met en scène Agnès Jaoui en quinquagénaire qui se sent vieille. Un film tout en pudeur et en délicatesse. Quel numéro! Elle est, disons, spéciale. Cette Barberie Bichette (Agnès Jaoui) a des manies. Elle parle toute seule, collectionne les rouleaux de papier hygiénique, écrit des poèmes sur des panneaux PowerPoint, s’adresse des doigts d’honneur dans les miroirs. Cinquante-cinq ans déjà, merde alors! Elle n’en revient pas. Comment s’est-elle d... ...
CRITIQUE - La cinéaste Sandhya Suri choisit le polar, incarné par une enquêtrice novice, pour dépeindre une société violente et corrompue. «On ne reprend pas un vieux pot qui a déjà servi.» Le pot en question est une jeune femme, Santosh, héroïne éponyme du premier long-métrage de fiction de Sandhya Suri, présenté au Festival de Cannes dans la section Un certain regard. Son mari, gardien de la paix dans une région rurale du nord de l’Inde, a été tué lors d’émeutes. La belle-famille n’est pas tendre avec la veuve,... ...