La place des femmes dans le cinéma stagne toujours
Les inégalités hommes-femmes sont présentes dans bien des domaines et le 7ème art n’échappe pas à cette réalité. Après l’étude réalisée par le CNC en 2017, le sujet est une fois de plus soulevé par la Fondation Annenberg-USC Think Tank, qui conduit une étude sur le sujet depuis dix ans. Publiée en juillet, l’investigation annuelle […] Retrouver l'article " La place des femmes dans le cinéma stagne toujours " sur le site culturel Just Focus. ...
La réalisatrice française prévoyait de présenter son nouveau long-métrage au festival de cinéma polonais Camerimage. Après la publication d’une tribune jugée «offensante» de son directeur, sur la place des femmes dans l’industrie cinématographique, elle l’a retiré de la programmation. « Nous ne devrions plus les tolérer », se sont indignés Coralie Fargeat et son chef de la photographie Benjamin Kracun dans un communiqué publié le 15 novembre sur X. Alors que The Substance , le film d’horreur de la réalisatri... ...
« Bas les pattes ! » RFI Lire plus tard Google Actualités Partager Masquer ce message Facebook Twitter E-mail Copier le lien Envoyer Temps de lecture : 1 min. En accès libre Critique Après une première saison d’un podcast centré sur la place des femmes en Afrique, Kpénahi Traoré s’intéresse cette fois à la place des hommes. Après une première saison sur la place des femmes dans les sociétés africaines, Kpénahi Traoré donne cette fo... ...
La vie ne s’arrête pas à 50 ans, c’est le message fort de Maïtena Biraben. La star de la télévision publie un livre, La Femme invisible (éd. Grasset) et a créé son média en ligne, Mesdames, qui parle des femmes quinquagénaires, sans pour autant exclure les hommes. Maïtena Biraben est une figure familière des téléspectateurs depuis 30 ans. Elle a notamment créé Les Maternelles sur France 5, puis animé Le Grand journal sur Canal+. Aujourd’hui, elle en est convaincue, il faut donner une place aux femmes de plus de 50 ... ...
Jean-Chat Tekgyozyan, écrivain et dramaturge de renom, a récemment dévoilé son ouvrage Troisième sexe (Belleville, 2021), traduit de l'arménien par Anahit Avetissian. Jean-Chat Tekgyozyan aborde la place des femmes dans une société patriarcale. Les personnages féminins, marginalisés pour leur force et indépendance, sont perçus comme appartenant à un troisième sexe. Ce roman, empreint de surréalisme et de critique sociale, remet en question les normes de genre dans la littérature et la société arménienne. Dam... ...
Depuis 2021, l’artiste LaDame Quicolle parcourt les rues de Lille avec une mission : redonner la parole aux femmes victimes de violences à travers des portraits qu’elle colle sur les murs de la ville. Son dernier sujet, Gisèle Pélicot, est devenu une figure emblématique après avoir témoigné publiquement lors du procès des viols de Mazan. Cette série de collages, intitulée Les gardiennes de rue, attire l’attention et pousse les passants à réfléchir sur la place des femmes dans l’espace public. Gisèle Pélicot, qui appara.. ...
C’est l’histoire d’un film qui ne vit jamais le jour. Une histoire qui tisse les vies de trois artistes : Hollis Jeffcoat, Joan Mitchell et Jean Paul Riopelle, dont les destins se sont enchevêtrés. C’est aussi l’histoire d’un accident, de ces hasards qui changent tout, et d’une réflexion profonde sur la place des femmes dans le monde de l’art. Au cœur de cette narration se trouve Martine Delvaux, qui raconte son amour pour l’artiste Hollis Jeffcoat. Une passion qui l’a poussée à tenter d’écrire un fi... ...
Makareta est celle sur qui reposent tous les espoirs de la communauté, l'élue. Missy, quant à elle, joue le rôle de l'observatrice, elle accepte sa place tout en continuant à nourrir des rêves. Mata, enfin, est l'abandonnée, l'orpheline, celle qui regarde passer sa vie avec résignation. Cousines examine la place des femmes māori au sein de leur communauté, où l'individu est souvent sacrifié au profit de la collectivité. À travers des portraits intimes de Makareta, Missy et Mata, le livre dévoile leur lutte pour con... ...
Mon amie Léno est un roman féministe qui, au-delà de l’évocation d’un lien de sororité exceptionnel et de l’émotion suscitée par le destin impressionnant et tragique d’une pionnière de l’aviation, nous interroge sur la place des femmes, qui devaient prendre tous les risques pour obtenir l’indépendance et la reconnaissance. Titulaire d’un brevet de pilote en 1931, Hélène Boucher connut une carrière d’aviatrice brève, mais remarquable : raids, meetings aériens, haute voltige, record mondial d’altitude, rec... ...
« Nous souhaitons valoriser la pensée féministe dans la littérature à travers les livres, mais aussi de rendre plus visible la place des femmes autrices sans négliger la dimension d’éducation populaire et la dimension intergénérationnelle », souligne Carine Delahaie, directrice du salon Délivrées ! et rédactrice en chef de Clara magazine. Les premiers temps forts de l’événement s’annoncent particulièrement riches et diversifiés. Dès le vendredi soir, l’Espace des Blancs Manteaux se métamorphosera en cinéma... ...
Photo réalisée lors de la performance de Deborah de Robertis, dans l’exposition « Lacan », devant « L’Origine du monde » (1866), de Gustave Courbet, et des œuvres de Betty Tompkins et d’Agnès Thurnauer, au Centre Pompidou-Metz, le 6 mai 2024. DEBORAH DE ROBERTIS Le 29 mai 2014. Deborah de Robertis, à demi-nue, écarte les cuisses sous L’Origine du monde (1866), le célébrissime tableau de Gustave Courbet, au Musée d’Orsay, à Paris, pour dénoncer la place des femmes dans le monde de l’art. L’artist... ...