De Twitter à Arte, la griffe Loïc Prigent
La fashion sphère, Loïc Prigent connaît. Son livre "J'adore la mode mais c'est tout ce que je déteste", compil de ses tweets, est lu sur Arte par Catherine Deneuve. So chic ! Par Sophie Fontanel....
Chroniqueur des rutilances et travers de la mode, Loïc Prigent s'est distingué par des documentaires narquois sur les Fashion Weeks, mais aussi en en consignant les perles orales dans deux ouvrages intitulés J'adore la mode mais c'est tout ce que je déteste et Passe-moi le champagne, j'ai un chat dans la gorge. Il manquait à ce satiriste un apanage, celui du pédagogue. La newsletter culture Tous les mercredis à 16h Recevez l’actualité culturelle de la semaine à ne pas manquer ainsi que les Enquêtes, décryptages, ... ...
CRITIQUE - Paris accueille cette constellation d’artistes italiens qui ont réinterprété le monde dévasté de l’après-guerre et investi les lieux dédaignés par tous avec des moyens humbles volés à la nature et à l’industrie. L’Arte povera, cette révolutionnaire qui crache du feu avec Jannis Kounellis et plie la lumière dans ses néons avec Mario Merz, qui recouvre de givre les matelas des rêves avec Pier Paolo Calzolari, qui se joue de l’arc électrique avec Gilberto Zorio et qui tricote des chaussons de fée en fi... ...
Son Président, Bruno Patino, explique sa stratégie d’hyperdistribution et revient sur le phénomène de la rentrée, le documentaire "DJ Medhi : made in France", qui cumule 5,5 millions de vues et 10 millions d’interactions sociales. Radio France Publié le 21/10/2024 12:49 Mis à jour le 21/10/2024 12:49 Temps de lecture : 3min Bruno Patina, Président d'Arte, invité de Célyne Baÿt-Darcourt dans Info médias. (INFO MEDIAS / FRANCEINFO) Depuis plusieurs années, Arte entend miser... ...
« Rire avec le diable » : c’est le titre du dernier livre du journaliste Bruno Patino, président d’Arte, édité chez Grasset. Correspondant au Monde au Chili dans les années 90, il parvient à rencontrer le général Pinochet. Un face-à-face saisissant sur lequel il revient dans le dernier épisode de Secrets de Dirigeants. Que ferait-on face au pire dictateur qui existe ? L’interroger sur ses crimes bien sûr, et tenter de le confondre. Chercher l’aveu. C’est la mission que c’était donné Bruno Patino, en 1992 en de... ...
En 250 œuvres, dont 50 issues de la collection Pinault et d'autres en provenance de musées ou de collections privées, la Bourse de commerce se transforme en terrain de jeux des artistes de l'Arte povera jusqu'au 20 janvier 2025. Ils sont tous là par leurs œuvres, ces 13 artistes italiens qui dans les années 1960 ont pris d'assaut la scène des arts plastiques. "À bas tous les académismes" aurait pu être leur slogan. Trouver une définition de ce mouvement est impossible, et heureusement. Ce serait trahir ces rebelles à l... ...
A la Bourse de commerce, l’arte povera renverse les esprits par ses extravagances et ses bizarreries
A la question « Qu’est-ce que l’arte povera ? » (« art pauvre », en français), la réponse la plus simple est : des artistes trentenaires qui apparaissent en Italie à la fin des années 1960 et dont le principal point commun, outre l’âge et la culture, est la volonté de s’affirmer hors des styles et des notions qui dominent alors. Cette volonté ne s’exprime pas dans des manifestes, mais, brièvement, par des expositions collectives qui rassemblent des créations de formes très différentes – mais toutes intensém. ...
Carolyn Christov-Bakargiev, en 2022. SEBASTIANO PELLION DI PERSANO A ses yeux, l’arte povera a « 300 millions d’années », et non soixante… La plupart des historiens d’art cernent cette avant-garde artistique à l’Italie des années 1960 et 1970 ? Carolyn Christov-Bakargiev voit plus large, plus loin : elle en fait la démonstration dans la vaste rétrospective du mouvement qu’elle orchestre à la Bourse de commerce, à Paris. Pistoletto, Penone, Zorio, Anselmo, Pascali… c’est la vie et l’œuvre des treize ... ...
A la Bourse de commerce, à Paris, la Collection Pinault présente l’avant-garde italienne de l’arte povera, de son surgissement, dans les années 1960, à aujourd’hui. Toujours dans la capitale, la Fondation Vuitton ouvre, elle, dans quelques jours, « Pop Forever », un parcours à travers le pop art des années 1950 jusqu’à ses formes actuelles. En 2023, la Collection Pinault montrait à Rennes « Forever sixties », sur la même définition extensive du pop. En 2017, chez Vuitton, « Art/Afrique le nouvel atelier » témo. ...
— Frederic Legrand – COMEO / Shutterstock.com Depuis qu’Elon Musk a pris le contrôle de Twitter, les témoignages sur l’atmosphère au sein de l’entreprise n’ont cessé de circuler. Parmi les sujets qui reviennent souvent, l’humour du milliardaire occupe une place centrale. Mais il semble que ce sens de l’humour ne fasse pas toujours l’unanimité, surtout chez les employés. Dans son ouvrage Character Limit, Ryan Mac et Kate Conger, journalistes au New York Times, décrivent comment les employés de Twitter, désormai... ...
En octobre 2022, Elon Musk s’offrait Twitter pour la somme astronomique de 44 milliards de dollars, après un feuilleton médiatique retentissant. À la tête de Tesla et SpaceX, Musk promettait une liberté d’expression totale sur la plateforme, rebaptisée depuis “X”. Deux ans plus tard, le constat est amer : le réseau social ne vaut désormais plus que 9,4 milliards de dollars (8,5 milliards d’euros), soit une chute vertigineuse de près de 80 % de sa valeur initiale, selon les estimations du fonds d’investissement Fidelity. .. ...