Critique de livre: “Dis-moi des choses agréables sur l’immortalité” de Lindsay Wong
“Joyeux anniversaire!” – la première histoire du premier recueil de nouvelles de Lindsay Wong “Tell Me Pleasant Things About Immortality” – donne le ton pour les histoires à suivre. Mme Goh a offert à ses deux enfants adultes, Johnny et Amy, 5 000 $ chacun s’ils retournent à Hong Kong pour célébrer le dîner du 65e anniversaire de leur père, “pour un maximum de quarante-huit heures et deux autres repas, de préférence des dim sum, et peut-être une matinée de « La Flûte enchantée » avec des sous-titres en canto......
CRITIQUE - L’inoubliable interprète de The Artist fait un retour réussi au Théâtre Marigny avec le roman autobiographique de Maria Larrea. Un seul-en-scène de qualité. Dans l’adaptation théâtrale des Gens de Bilbao naissent où ils veulent (Le Livre de Poche), Bérénice Bejo prête sa voix à l’auteur, Maria Larrea. Une fille de « cinglés », deux émigrés qui ont fui l’Espagne de Franco. « Née de l’ombre d’une femme », l’héroïne part en quête de ses origines et de son identité. Johanna Boyé et É... ...
Avec « Les gens de Bilbao naissent où ils veulent », Bérénice Bejo s’expose à l’exercice périlleux du seule-en-scène - lemonde
"Le théâtre me convient parce qu'il y a beaucoup de travail" : Bérénice Bejo seule en scène au Théâtre Marigny - francetvinfo
ONPC : Bérénice Bejo sexy, sa tenue courte et ses jambes affolent les téléspectateurs (Vidéo) - Non-stop-zapping
CRITIQUE - Dans ce film de Guillaume Senez, Romain Duris incarne un père vivant à Tokyo et privé de sa fille par le droit local. Une histoire de paternité traitée sans mélodrame. Dans les voitures japonaises, le volant est à droite. Jay (Romain Duris) s’est habitué à ce détail. Ce Français a dû s’accoutumer à bien d’autres choses. Par exemple, la loi locale l’empêche de voir sa fille. Garde partagée, droit de visite, la loi n’a pas l’air d’envisager ces solutions. En revanche, la pension alimentaire est obligat... ...
Birdking tome deux Le dieu muet et la jeune forgeronne reviennent dans le tome deux de Birdking. Ce duo improbable quitte désormais les territoires connus et rentre dans une zone de conflit. Un voyage vers l’Inconnu Le premier livre de Birdking suivait Bianca, apprentie forgeron, qui, par maladresse, forçait son maître Thonir à partir en quête pour le roi nécromancien Aghul afin de reforger la lame spectrale d’Aduren. Cependant, son maître est trahi par un proche d’Aghul et Bianca réveille l’esprit du roi de la Coll... ...
CRITIQUE - Deux ans après « Chronique d’une liaison passagère », Emmanuel Mouret met en scène trois femmes bousculées par leurs amours. Un film drôle, délicat et très français. C’est son problème. Emmanuel Mouret croule sous les références. Parce qu’il jouait dans ses films, on l’a comparé à Woody Allen. Ses personnages parlaient beaucoup ? Il était l’héritier d’Éric Rohmer. Son dernier titre ne va pas arranger les choses. La Fontaine aurait pu l’utiliser pour désigner l’une de ses fables. Elles... ...
Notre critique de Vivre, formidable mélodrame porté par le poignant Bill Nighy - lefigaro
Quatre personnes gravement blessées après l’écrasement de la foule à l’O2 Academy Brixton - lesactualites
R.La biographie familiale d’Oxanne de Bastion commence avec un piano, vieux et ruiné par des décennies d’utilisation. Enfant, Roxanne savait qu’il appartenait à la famille depuis plus d’un siècle, mais ce n’est qu’après la mort de son père et l’héritage de l’instrument, ainsi qu’un trésor de vieilles lettres, photos, partitions et cassettes, qu’elle a découvert l’histoire. Le piano, un petit piano à queue Blüthner, appartenait à son défunt grand-père, un juif hongrois nommé Stephen de Bastion, qui avait tr. ...
Soyons clairs : « John Quincy Adams : un homme pour tout le peuple » de Randall Woods n’est pas un livre de détente conçu pour la plage ou l’aéroport. Avec plus de 700 pages, la biographie de Woods sur le sixième président est massive, tant par sa longueur que par sa portée. Mais c’est le genre de livre qu’Adams mérite pour sa vie et son héritage qui s’étendent bien au-delà de son mandat de commandant en chef et incluent ses années en tant que diplomate, sénateur et membre du Congrès. Les lecteurs pourraient sortir d.. ...
Antoine et Roxane, deux acteurs, incarnent à l’écran l’amitié qui unissait le frère Marie-Victorin à son étudiante Marcelle Gauvreau. Devant les liens chastes et mystiques partagés par ces amoureux de la flore québécoise, les deux comédiens — qui ont entretenu une brève relation — sont contraints à s’interroger sur leurs propres rapports à l’intimité et à la nature. En acceptant d’adapter pour le cinéma la correspondance entre l’homme de Dieu et son élève — un échange épistolaire datant des années 1930.. ...
Dans les années 1930, le frère Marie-Victorin, surtout connu comme auteur de Flore laurentienne (1935) et fondateur du Jardin botanique de Montréal, se lie d’amitié avec son étudiante Marcelle Gauvreau. Alimentée par un amour inconditionnel envers Dieu et une fascination sans borne envers la nature et la science, leur relation évoluera en un échange épistolaire passionné, dans lequel ils explorent les désirs et la sexualité humaine, dans ses manifestations physiques et psychologiques. Correspondance inouïe dans le Québec pur.. ...
« Mais où est donc passée la 7ème compagnie ? » : 3 choses à savoir sur le film culte ce soir sur TF1 (3 juillet) - stars-actu
«Dis-moi pourquoi ces choses sont si belles»: la nature du désir - ledevoir
Acteur et producteur Griffin Dunne a grandi à New York et à Los Angeles avec les paillettes du monde entier. Son père, Dominick Dunne, directeur de télévision et producteur de films quand Dunne était jeune, aimait fréquenter les riches et les célèbres. Son oncle, journaliste et scénariste John Gregory Dunne, marié écrivain Joan Didion et ils sont devenus un couple puissant de Los Angeles. Ayant grandi dans les années 1960 et au début des années 1970, il a assisté à des soirées apparemment interminables avec Sean Connery, Wa.. ...
CRITIQUE - Le livre d’une mère dont la philosophie de vie a été bouleversée par son fils aîné autiste. Lorsqu’elle a publié son premier roman il y a quinze ans, Minh Tran Huy n’aurait sans doute jamais imaginé qu’elle écrirait un jour un récit personnel dans lequel elle parlerait d’elle et de sa famille à livre ouvert. Ce n’était pas son genre, et vraiment pas le genre de l’éducation que ses parents lui avaient donnée. À découvrir Ceux-ci, nés au Vietnam, d’extraction paysanne, devenus l’un et l... ...
