Librairie : Le Prix Pulitzer Michael Chabon recrée le rayon SF de son enfance
Un travail numérique qu’il a partagé sur le réseau social, Threads : « Un après-midi de quarantaine interminable, j’étais dans mon studio de Berkeley, fixant mes vieux livres de poche DAW Books et Ballantine Adult Fantasy series, et contemplant dans mon imagination la section “Science Fiction et Fantasy” de la loooong défunte librairie, Page One, de retour à Columbia dans le Maryland où j’ai grandi », raconte-t-il. Splendeurs de la SF de poche Et de continuer : « Les gens, je vous le dis, j’ai putain de HA......
Lorsqu’une amie lui a prêté le roman américain The Sympathizer (2015) — gagnant du prix Pulitzer — pour se divertir pendant le confinement lié à la pandémie de COVID-19, Fred Nguyen Khan était loin de se douter que sa vie entière serait bouleversée par cette oeuvre, de façon tout à fait inattendue. Le comédien montréalais avait lu environ la moitié du livre lorsqu’il a été invité à auditionner pour une série produite par HBO adaptée du roman. « J’étais déjà complètement happé par ma lecture, et j’étais.. ...
Le réalisateur coréen de "Old Boy", Parc Chan-wook, signe un nouveau thriller qui se déroule autour de la guerre du Vietnam et d'un agent double. La série musclée est inspirée d'un roman qui avait obtenu le Prix Pulitzer. Elle bénéficie aussi de trois rôles en or pour le comédien et coproducteur Robert Downey Jr. La série est diffusée à partir du 15 avril, sur le Pass Warner. Radio France Publié le 14/04/2024 15:56 Temps de lecture : 2 min Robert Downey Jr et Hoa Xuande dans "The Sympathiz... ...
En apparence, le Viet Thanh Nguyen Le sympathisant est la cible idéale pour l’adaptation. Tout d’abord, il s’agit d’un roman – l’un des documents sources les plus lucratifs pour une industrie perpétuellement avide de propriété intellectuelle existante et d’un public intégré. Deuxièmement, il s’agit d’un lauréat du prix Pulitzer, un insigne d’honneur qui s’est déjà avéré une aubaine pour des adaptés similaires comme Projecteur, Conduire Miss Daisy et Glengarry Glen Ross. Mais en réalité, il y avait un pr... ...
Le dessinateur ne veut pas céder à la tentation de la nostalgie, alors qu’elle est lancinante et déchirante chez le romancier. Formidable et effroyable. Le génie graphique que déploie Manu Larcenet dans cet album est à la hauteur de la puissance et de la beauté du roman de Cormac McCarthy qui l’a inspiré, La Route, Prix Pulitzer 2006. Mais il est autrement terrible que son modèle. Il ne nous plonge pas seulement dans un monde ravagé par un incendie planétaire où quelques hommes tentent de survivre. En suivant les pas des pe... ...
Emmanuel Larcenet, dit Manu Larcenet, dans les locaux des éditions Dargaud, à Paris, le 28 mars 2024. LEA CRESPI / PASCO POUR « LE MONDE » Poser un exemplaire de La Route (L’Olivier, 2008), le roman de Cormac McCarthy, sur son bureau ou sa table de chevet peut produire des réactions surprenantes : des regards qui se voilent, une conversation qui s’étiole. Ce western postapocalyptique, qui a valu le prix Pulitzer de la fiction à son auteur en 2007, suscite des confidences, comme certains raconteraient un deuil, ou un... ...
Emmanuel Larcenet, dit Manu Larcenet, dans les locaux des éditions Dargaud, à Paris, le 28 mars 2024. LEA CRESPI/PASCO POUR « LE MONDE » Poser un exemplaire de La Route (L’Olivier, 2008), le roman de Cormac McCarthy, sur son bureau ou sa table de chevet peut produire des réactions surprenantes : des regards qui se voilent, une conversation qui s’étiole. Ce western postapocalyptique, qui a valu le prix Pulitzer de la fiction à son auteur en 2007, suscite des confidences, comme certains raconteraient un deuil, ou un c... ...
CRITIQUE - Le destin cruel d’un petit garçon né au mauvais endroit et au mauvais moment. Superbe. Ouvrir ce roman de plus de 600 pages, avoir un peu peur de s’y plonger. Et puis se surprendre à ne plus pouvoir s’arrêter, à maudire tout ce qui pourrait interrompre sa lecture. Réaliser finalement qu’on tient entre les mains un chef-d’œuvre, un livre immense, percutant, important, et avoir une folle envie de le faire découvrir à tous. À découvrir On m’appelle Demon Copperhead a reçu le prix Pulitzer l’an pas... ...
Finaliste en 2023 du prestigieux prix Pulitzer de musique, la compositrice Jlin prend du galon. « C’est un immense honneur, mais j’ai encore beaucoup de travail à faire », commente avec modestie la musicienne originaire de Gary, ville en banlieue de Chicago, dont le talent a fini par éclore hors de la coquille de la scène électronique parallèle. Akoma, son troisième album studio, qui paraît en ce 22 mars, est l’une des oeuvres électroniques les plus visionnaires des dernières années ; sa créatrice nous parle de ses inf. ...
Depuis plusieurs mois, les plaintes se succèdent, aux États-Unis, contre les sociétés qui développent des technologies basées sur les larges modèles de langage et l'intelligence artificielle. Leur point commun ? Ces procédures judiciaires sont portées par des auteurs de l'écrit ou des illustrateurs. Sarah Andersen, George R.R. Martin, Michael Chabon, Jodi Picoult, John Grisham, Jonathan Franzen ou même l'Authors Guild, organisation américaine d'auteurs, font partie des plaignants, dans une succession d'affaires impli... ...
« Tout le monde vous le dira, les enfants de ce monde sont marqués dès la sortie, tu gagnes ou tu perds », peut-on lire dès les premières pages du neuvième roman de l'Américaine, On m'appelle Demon Copperhead (trad. Martine Aubert). Le jeune Damon Fields, « un nom de boys band », est très vite renommé Demon Copperfield, comme chacun dans ce comté rural et pauvre de Lee, en Virginie, est d'abord désigné par son sobriquet. Un avatar qui provient du père qu'il n'a jamais connu, et qui comme lui, avait les cheveux roux... ...