Paolo Roversi : « J'aime me tenir à la lisière entre rêve et réalité »
En 1973, le photographe Paolo Roversi posait ses valises à Paris. Sa ville d'adoption lui rend aujourd'hui hommage à la faveur d'une rétrospective* exceptionnelle au Palais Galliera. Y sont exposées les images qu'il a créées pour les plus grands stylistes : de Yohji Yamamoto à Romeo Gigli en passant par Rei Kawakubo. À l'heure où l'artiste publie également un livre** dans lequel il revient sur son travail, Le Point lui a proposé de plonger dans ses souvenirs. L'occasion de confidences sur ses années d'apprentissage et les......
Célébrant sa septième année, J’aime le livre d’art est soutenue par plus de 400 librairies en France et à l'étranger, situées au cœur des villes, dans les territoires ruraux et les centres commerciaux, toutes partageant une passion commune pour le livre d'art et le beau livre. Trois moments clés structurent l'année pour J’aime le livre d’art. Le premier est le Prix des libraires, qui récompense un ouvrage sélectionné dans le catalogue associé, dont le lauréat sera annoncé le jeudi 12 décembre. Entre dé... ...
Certains aiment jardiner, bricoler. Jean-François*, lui, aime masser. Il aime masser des femmes, idéalement belles, nues, mais sans échange d’argent. Pour le plaisir de donner, dit-il. Entretien avec un « passionné ». Publié hier à 19 h 30 L’homme, début soixantaine, nous a écrit en réaction au témoignage d’une certaine Maude*, qui remerciait plus tôt cet automne les hommes attentionnés rencontrés dans sa vie. Parce que c’est grâce à eux, disait-elle, qu’elle s’est enfin épanouie. Lisez le t... ...
Publicité « Qui m’aime me suive ! », c’est le film qui vous attend ce vendredi 15 novembre sur France 3. Un film signé José Alcala avec Daniel Auteuil, Catherine Frot et Bernard Le Coq. Rendez-vous dès 21h10 sur la chaîne mais aussi en streaming vidéo, et depuis tous vos appareils connectés sur France.TV (fonction direct). Publicité « Qui m’aime me suive ! » : histoire et interprètes Gilbert et Simone vivent dans un petit village du sud de la France. Simone profite de sa retraite et entretient une... ...
« On dort au gaz. Mon livre, c’est pour dire : “Réveillez-vous ! Ça ne va pas bien !” » Alain Saulnier, journaliste et ancien directeur du service de l’information de Radio-Canada, lance un appel à tous avec son nouvel essai Tenir tête aux géants du Web. Une exigence démocratique. Alors que dans son précédent ouvrage, Les barbares numériques, il s’inquiétait de l’effet des multinationales d’Internet sur notre culture et nos médias, il dirige cette fois-ci le projecteur sur les dangers qui guettent la démocrati. ...
La maison d'édition "Monsieur Toussaint Louverture", l'éditeur français de cette bande dessinée à succès, tente de reproduire jusqu'à l'écriture de l'autrice. Radio France Publié le 08/11/2024 12:47 Temps de lecture : 2min Emil Ferris, autrice de "Moi ce que j'aime, c'est les monstres", reçoit le prix fauve du meilleur comic au festival d'Angoulême en 2019 (YOHAN BONNET / AFP) C'est un comics, une BD américaine, que les fans craignaient de ne jamais pouvoir lire : l... ...
Dans votre roman il y a plusieurs langues, mais aussi plusieurs voix et peut-être plusieurs écritures… Comment êtes-vous arrivé à cette écriture ? Paolo Bellomo : J’ai commencé à écrire en croyant que c’était un monologue, la parole de Faïel avait cette adresse particulière qu’on peut trouver dans les écritures pour la scène. Mais, pour moi, il y a toujours une adresse dans n’importe quelle écriture fictionnelle. J’y crois profondément. Ce sont peut-être ses degrés, ses modalités qui changent. Mon é... ...
Vous êtes Italien et traducteur de l’italien vers le français (et vice-versa). Pourquoi avoir écrit ce roman en français ? Paolo Bellomo : Pendant le processus de création, il y a eu un moment où une voix s’est mise à parler dans mon oreille. C’était la voix d’un petit enfant, Faïel. Elle a commencé à me parler en français et je me suis simplement laissé porter par ce que ce garçon avait à me dire. Au départ, je croyais que j’étais en train d’écrire un monologue pour le théâtre. Mais au bout de cinq... ...
Ce beau-livre explore cette force invisible et invincible qui traverse le temps et l’espace, un sentiment qui nourrit à la fois les plus grands espoirs, l'exaltation, la fièvre créatrice, mais aussi les chagrins dévastateurs et les renouveaux inattendus... Dans Je t’aime, j’ai tenté d’illustrer un sujet qui, depuis des siècles, enflamme l’imaginaire et les coeurs. L’amour existerait-il avec autant de force et de persistance si les poètes, les écrivains et les artistes n’avaient mis en mots et en images leurs ex... ...
Dans Troublante Identité, en 2022, Paul Audi tentait de composer avec son identité, cette substance acide qui n'est pas un bloc mais un flux, qui ne vient pas de nous et ne va pas de soi. « Être identifié, écrivait-il alors, c'est être confondu », assujetti aux logiques d'appartenance, qu'elles soient géographiques, sociales ou religieuses. C'était un livre – merveilleux – sur ce qu'il appelait la « succion du passé ». Deux ans plus tard, Tenir tête s'attaque à celle du présent : la « succion » de ce jour o... ...
Son nom ne vous dit peut-être rien mais la carrière de Mijo Beccaria à forcément fait partie de votre vie, dans votre enfance ou avec vos enfants. Co-créatrice du magazine Pomme d’Api en 1966, à l’origine du Petit Ours Brun ou Mimi Cracra. Mijo Beccaria a également participé à la création d'autres magazines pour les enfants et les adolescents, comme Popi, Astrapi, J'aime lire, Okapi et Phosphore. Mijo (de son vrai nom Marie-Josèphe) a ainsi révolutionné la presse jeunesse du groupe Bayard Presse. Elle y rentre ... ...