Les scientifiques découvrent un « interrupteur » dans le cerveau qui permet « d’éteindre » la peur
— Valery Sidelnykov / Shutterstock.com La peur est un sentiment très commun, mais pas moins désagréable, chez les êtres humains. Pour cette raison, nombreux sont ceux qui veulent absolument s’en débarrasser. Mais, est-ce possible ? D’après une nouvelle étude, il existe une zone clé du cerveau qui agit comme un interrupteur de la peur. Les chercheurs ont même découvert un moyen de potentiellement la désactiver dans certaines situations. Vers un nouveau traitement pour ceux qui souffrent de syndrome post-trau......
Hervé Le Tellier. FRANCESCA MANTOVANI / EDITIONS G Lire plus tard Google Actualités Partager Masquer ce message Facebook Twitter E-mail Copier le lien Envoyer Offrir cet article Masquer ce message S’abonner permet d’offrir les articles à vos proches. Et pas que : vous pouvez les consulter et les commenter. Temps de lecture : 1 min. Abonné A l’occasion des 60 ans du « Nouvel Obs » et de notre dossier sur le pouv... ...
« J’ai toujours considéré que la bande dessinée est un super outil pour transmettre des savoirs qui, sinon, restent enchâssés dans des publications scientifiques que personne ne lit. » C’est à partir de cette idée que Valérie Amiraux, professeure de sociologie à l’Université de Montréal, a cofondé avec Laurence Monnais la toute nouvelle collection « Enquêtes scientifiques » des Presses de l’Université de Montréal. Études, recherches et savoirs ; en bulles et en bédé. Valérie Amiraux avait ce goût, comme .. ...
© Mike Allen/UCR Lorsque le mont St Helens a explosé en 1980, il a transformé la région environnante en un désert de cendres, de lave et de débris, laissant le sol appauvri et stérile sur plusieurs kilomètres. La reconstruction de l’écosystème semblait devoir prendre des décennies, voire plus. Cependant, un groupe de scientifiques a eu une idée novatrice pour accélérer le processus de régénération : introduire des spermophiles dans la zone pour voir s’ils pourraient jouer un rôle dans le rétablissement du sol. Les ... ...
écouter (2min) Tombé face aux Espagnols il y a plus de 500 ans, l'empire aztèque révèle des pratiques et des rites sacrificiels toujours plus étonnants à nos yeux, à mesure que les fouilles archéologiques et les études scientifiques progressent. Radio France Publié le 20/11/2024 09:53 Mis à jour le 20/11/2024 09:56 Temps de lecture : 2min Site archéologique de Teotihuacán, au Mexique. (IRENA SOWINSKA / GETTY IMAGES) Il est parfois considéré comme l'un des instr... ...
— Nick van den Broek / Shutterstock.com Pour la première fois, des scientifiques ont exploré l’effet des sons produits par les sifflets de la mort aztèques sur le cerveau humain, avec des découvertes intrigantes à la clé. De petits artefacts en argile produisant un son caractéristique Au fil des décennies, plusieurs exemples de sifflets aztèques ont été découverts. Datant de 1250 à 1521 de notre ère, ces petits artefacts en argile sont reconnaissables à leur forme, rappelant celle d’un crâne humain, et au son st... ...
— BANDZRIO / Shutterstock.com En Allemagne, des chercheurs ont documenté des comportements remarquablement élaborés chez des éléphants d’Asie (Elephas maximus), illustrant une nouvelle fois l’intelligence de ces créatures. Des comportements sophistiqués Ces travaux se sont concentrés sur trois pensionnaires du zoo de Berlin. Lors de leur incontournable douche, les scientifiques ont été stupéfiés par l’agilité avec laquelle les pachydermes manipulaient des tuyaux d’arrosage, considérés comme des outils complex... ...
Par Valentin Grégoire - Publié le 12 novembre 2024 à 19:00 Une étude canadienne révèle que les adeptes du gaming, jouant au moins cinq heures par semaine, bénéficieraient de capacités cognitives surprenantes. Crédit photo : Shutterstock Une nouvelle perception des jeux vidéo se dessine grâce à des études récentes qui bouleversent les clichés ! Il semblerait que passer au moins cinq heures par semaine devant son écran de jeu pourrait non seulement retarder le vieillissement de notre cher cerveau, mais le... ...
© EMPA Il existe un grand nombre de facteurs qui peuvent influencer l’occurrence et la progression de la maladie d’Alzheimer, et des scientifiques en ont récemment identifié de nouveaux. D’après leur étude, il s’agit de protéines anormales qui se propagent très rapidement. Les accumulations de protéines de la maladie d’Alzheimer Au cours des dernières années, il a été largement prouvé que la maladie d’Alzheimer est en grande partie causée par une accumulation anormale – appelée fibrille – de protéines ... ...
— life_in_a_pixel / Shutterstock.com Le cerveau humain le plus massif jamais documenté n’était pas celui d’Einstein (loin de là même). Selon le Guinness des records, ce record est toujours détenu par un Néerlandais qui vivait à la fin du XIXe siècle. Encéphale record Si son identité reste un mystère, le dossier médical de l’homme, mort à l’âge de 21 ans seulement, indique qu’il était atteint de graves troubles du développement et souffrait de crises d’épilepsie récurrentes, qui avaient conduit à son i... ...
— Ezume Images / Shutterstock.com Depuis des décennies, la fission nucléaire intrigue et fascine les scientifiques. Ce processus complexe, qui consiste à diviser le noyau d’un atome, libère une énorme quantité d’énergie. Malgré son utilisation dans divers domaines comme l’énergie et la recherche scientifique, les mécanismes précis de la fission sont restés en partie mystérieux. Récemment, une équipe de physiciens américains a réalisé une simulation, offrant une perspective microscopique détaillée de ce qui se ... ...