"Madame Hofmann" de Sébastien Lifshitz : un magnifique portrait de femme dans un documentaire témoin de l'état de l'hôpital public en France
Après avoir brossé le portrait de deux jeunes filles dans Adolescentes, ou de Sasha, né garçon, se vivant comme une petite fille depuis l’âge de 3 ans dans Petite fille ou encore Bambi, figure mythique des cabarets parisiens dans les années 1960, Sébastien Lifshitz signe un nouveau très beau portrait de femme, celui d'une cadre infirmière pendant 40 ans à l'hôpital Nord de Marseille, quelques mois avant son départ en retraite. Madame Hofmann sort dans les salles le 10 avril. Quand le film commence, Sylvie Hofmann cadre in......
Après Combats et métamorphoses d’une femme, Édouard Louis nous éblouit, ni plus ni moins, avec un nouveau « livre de ma mère ». Prévu pour janvier dernier, puis repoussé à cette fin avril, avec changement de titre, L'Effondrement est devenu Monique s’évade (Seuil). C'est un portrait de femme tourmentée par un compagnon violent, marquée par une vie de pauvreté, d’emprise et de silence, qui parvient à trouver des lignes de fuite et de liberté. Avec Disparition inquiétante d’une femme de 56 ans (Seuil),... ...
Après Combats et métamorphoses d’une femme, Édouard Louis nous éblouit, ni plus ni moins, avec un nouveau « livre de ma mère ». Prévu pour janvier dernier, puis repoussé à cette fin avril, avec changement de titre, L'Effondrement est devenu Monique s’évade (Seuil). C'est un portrait de femme tourmentée par un compagnon violent, marquée par une vie de pauvreté, d’emprise et de silence, qui parvient à trouver des lignes de fuite et de liberté. Avec Disparition inquiétante d’une femme de 56 ans (Seuil),... ...
Avec son documentaire L'Homme aux mille visages, la productrice et journaliste à France Culture livre un portrait captivant d'un imposteur. L'histoire semble presque trop invraisemblable pour être vraie. Une double identité pour un seul homme, passe encore. Ce n'est pas la première fois. Une dizaine, cela paraît déjà un peu fort. Alors, un homme aux mille visages… Et pourtant, cet homme-là existe bel et bien, à l'instar de Frank Abagnale, l'escroc surdoué qui a inspiré à Steven Spielberg son film Arrête-moi si tu peux ... ...
Les sorties cinéma de la semaine avec Thierry Fiorile et Matteu Maestracci : "Madame Hofmann" de Sébastien Lifshitz et "Rosalie" de Stéphanie Di Giusto. Radio France Publié le 13/04/2024 07:21 Temps de lecture : 157 min "Madame Hofmann" de Sébastien Lifshitz. (AGAT FILMS) Sylvie Hofmann est cadre infirmière à l'hôpital nord de Marseille. 40 ans de métier, au service des autres, un dévouement sans faille, dans une profession où les démissions sont de plus en plus fréquentes, le po... ...
Sylvie Hofmann, infirmière cadre de l’hôpital Nord de Marseille, dans le documentaire « Madame Hofmann », de Sébastien Lifshitz. AD VITAM Des documentaires, il en existe de toutes sortes : enquête, carnet de voyage, home movie, cinéma direct, montage d’archives, etc. Mais sur le mélodrame ? Est-il permis au genre de jouer sur l’émotion sans rompre son pacte avec le réel ? C’est bien à une tâche acrobatique de cet ordre que s’est attelé Sébastien Lifshitz (Wild Side, 2004 ; Les Invisibles, 2012) avec ... ...
Le portrait d'une femme à barbe dans la France du XIXe siècle, le quotidien d'une infirmière à un an de sa retraite, une fable écologique japonaise... La sélection cinéma du Figaro. Rosalie - À voir Drame de Stéphanie Di Giusto, 1h55 Rosalie fait craindre le pire parce qu'il met en scène une actrice jouant une femme à barbe - le ridicule ne tue pas mais il fait parfois des blessés graves. Nadia Tereszkiewicz barbue, on y croit. C'est à mettre au crédit de la maquilleuse Mélanie Gerbeaux, spécialiste en pilosité a... ...
Par Etienne Sorin Publié il y a 57 minutes, Mis à jour il y a 1 minute «Au bout de quarante ans, j’ai l’impression d’avoir vécu cent ans», confie Sylvie Hofmann. AGAT Films/Arte France 2023/Ad Vitam CRITIQUE - Sébastien Lifshitz filme le quotidien d’une infirmière à un an de sa retraite. Il a bien trouvé son personnage. Le documentaire hospitalier se porte bien. Entre hypocondrie et sociologie, les réalisateurs aiment prendre à l’hôpital le pouls de la société. Alors qu’Averroès et Rosa Parks,... ...
CRITIQUE - Stéphanie Di Giusto dresse le beau portrait d’une femme (à barbe) dans la France du XIXe siècle. Ni artificiel, ni ridicule. Rosalie a tout pour faire peur. Non pas parce que le film de Stéphanie Di Giusto met en scène une femme à barbe. On a vu d’autres bêtes de foire bien plus effrayantes dans la grande galerie de monstres du cinéma. Rosalie fait craindre le pire parce qu’il met en scène une actrice jouant une femme à barbe - le ridicule ne tue pas mais il fait parfois des blessés graves. Une appréhension par... ...
Par Etienne Sorin Publié il y a 2 minutes, Mis à jour il y a 2 minutes «Au bout de quarante ans, j’ai l’impression d’avoir vécu cent ans», confie Sylvie Hofmann. AGAT Films/Arte France 2023/Ad Vitam CRITIQUE - Sébastien Lifshitz filme le quotidien d’une infirmière à un an de sa retraite. Il a bien trouvé son personnage. Le documentaire hospitalier se porte bien. Entre hypocondrie et sociologie, les réalisateurs aiment prendre à l’hôpital le pouls de la société. Alors qu’Averroès et Rosa Parks,... ...
Guy de Malherbe lors de l’exposition à la galerie La Forest Divonne, à Paris, le 14 mars. SEBASTIEN SORIANO/Le Figaro PORTRAIT - Des bords de mer de la Côte d’Albâtre ou de la Catalogne aux coquilles d’huîtres vides, cet artiste peintre a fait du minéral le fil directeur de son travail. Il sera présent cette semaine à Art Paris. Là, les falaises de Varengeville, tantôt blanches comme l’albâtre, tantôt sombres, laissant deviner au loin une mer aux reflets changeants. Ici, une plage de sable immaculé au bo... ...