Critique « Oh The Mysterious » (Dramapassion) : un drama coréen entre mensonges et vérité cachée !
Nous débutons le mois en vous donnant notre avis sur un K-Drama qui a attiré notre attention. Il s’agit de Oh The Mysterious, disponible sur la plateforme de Dramapassion en intégralité. L’intrigue nous entraîne dans plusieurs genres, mêlant enquête policière, suspens, recherche de vérité et argent ! À travers cette critique, nous vous laissons découvrir […] Retrouver l'article " Critique « Oh The Mysterious » (Dramapassion) : un drama coréen entre mensonges et vérité cachée ! " sur le site culturel Just Focu......
CRITIQUE - John Woo signe lui-même le remake de son polar hongkongais, transposé dans un Paris de carte postale avec Omar Sy qui se bat comme un manche. D’autres avant John Woo se sont essayés à l’auto-remake. Alfred Hitchcock (L’Homme qui en savait trop), Michael Haneke (Funny Games) ou Jean-Marie Poiré (Les Visiteurs) par exemple. Ces cinéastes étrangers, européens en l’occurrence, en profitent alors pour tourner aux États-Unis, pays de l’usine à rêves qui parfois se transforment en cauchemars. Woo, lui, transpose T... ...
CRITIQUE - L'Allemande Nora Fingscheidt s'était déjà fait remarquer avec « Benni ». Cette fois, elle met sublimement en scène Saoirse Ronan en jeune femme dépendante à l'alcool qui veut en sortir. Il paraît. Là-bas, les noyés se métamorphosent en phoques. C'est du moins ce que prétend une légende écossaise. D'autres songes traversent l'esprit de Rona. À 30 ans, cette demoiselle se réfugie dans les Orcades, ces îles où elle a grandi. Elle fuit Londres et une solide dépendance à l'alcool. Il était temps. El... ...
YVous ne voudriez pas passer du temps avec le genre de personnes que vous rencontrez dans les films du réalisateur australien Justin Kurzel : le solitaire dérangé de Nitram ou les tueurs de son premier film, Snowtown, qui est sans égal. Aujourd’hui, dans The Order, Kurzel tourne son attention vers les néonazis américains et ceux qui les traquent – et, sous la forme de l’agent du FBI profondément blessé joué par Jude Law, ces derniers ne sont pas non plus les personnages les plus câlins. Présenté en compétition au Fest. ...
Happy of the End, le yaoi d'Ogeretsu Tanaka, aura droit à une adaptation en drama dont la diffusion est prévue dans quelques jours à peine au Japon. La série live Happy of the End est prévue dès la nuit du 2 au 3 septembre, sur le créneau de 2h55 du matin, avec la diffusion simultanée des deux premiers épisodes sur la chaîne Fuji TV. La série dénombrera 8 épisodes de chacun une heure. Tomoyuki Furuyama est en chargé de la réalisation de l'intégralité des épisodes, à l'exception du sixième qui sera dirigé par Taka... ...
Drama coréen 1% of Something Aujourd’hui avec “1% of Something”, on va se faire un petit retour nostalgique : En effet, ce drama coréen, n’est pas récent. Datant de 2016, il pourrait être oublié dans les profondeurs de toutes les nouvelles sorties de dramas coréens qui nous arrivent en ce moment. Et pourtant, il est bon parfois de se faire un petit coup de retour en arrière, et de découvrir ces productions, qui ont quand même un petit quelque chose de différent. Alors venez avec nous à la découverte de cette comé... ...
Les mystères continuent de s’accumuler L’Acolyte. Entre manigances jumelles, Seigneurs Sith secretset ce qui s’est réellement passé Marquesnous avons déjà beaucoup de choses à faire. Mais à partir de l’épisode 6, « Enseigner/Corrompre », une nouvelle question entre en jeu : qui était le maître Jedi de Qimir/l’Étranger (Manny Jacinto) ? VOIR ÉGALEMENT: Critique de « The Acolyte » : exactement ce dont Star Wars a besoin Comme l’Étranger le dit à Osha (Amandla Stenberg) lors de leur première confronta... ...
CRITIQUE - En s’inspirant des photos de Danny Lyon, le réalisateur de Mud et Take Shelter orchestre le tumulte d’un gang de bikers dans les années 1970. Moteur! Plus que jamais, la formule technique est appropriée. Les pots d’échappement grondent, les grosses cylindrées vrombissent. Inspiré des photos (en noir et blanc) de Danny Lyon, le film (en couleurs) s’intéresse à un gang de bikers basé à Chicago. The Bikeriders, divisé en deux parties, se compose d’interviews réalisées en 1969 et en 1973. La méthode - voix of... ...
Par Etienne Sorin Publié hier à 19:00, Mis à jour hier à 20:49 Donald Trump (Sebastian Stan) et son mentor, l’avocat véreux, Roy Cohn (Jeremy Strong). Apprentice Productions Ontario INC/Profile Productions 2 APS/Tailored Films LTD CRITIQUE - Le film d’Ali Abbasi, en compétition, dresse le portrait saisissant du jeune promoteur new-yorkais avant la tentation politique. Dans les années 1970, Donald Trump n’a pas encore les cheveux orange. Il a déjà un «gros cul», comme le lui fait remarquer Roy Cohn, avoc... ...
Les pleurs de Nicholas Sparks sont conçus de manière si fiable pour produire des flaques d’eau que « The Notebook », qui a ouvert ses portes au Schoenfeld Theatre de Broadway jeudi soir, vend des mouchoirs au comptoir des produits dérivés. Le sentiment est l’étoile polaire de cette adaptation page à scène, et ceux qui cherchent une excuse pour verser des larmes – qui ne pourrait pas en utiliser une, de nos jours ? – trouvera la comédie musicale livrée. Mais ses créateurs, dont l’auteure-compositrice-interprète ... ...
Il y a des films qui sont vraiment stupides dans le sens où ils vous rendent insatisfait et même furieux parce que leurs morceaux ne forment pas un tout satisfaisant (hum). Et puis il y a les bons films débiles, comme Dumb and Dumber, Cabin Boy, The Big Lebowski, et maintenant La gouttière, une comédie sportive qui parle ostensiblement de bowling mais qui parle en réalité de la gloire de faire des trucs stupides avec des amis. À juste titre, cette comédie dingue entre amis a été réalisée par deux frères, qui, à la fin du film,.. ...