Flaubert et Madame Bovary “réduits” à la sauce Twitterature
Barques Walden a lancé une grande opération autour de son projet, Bowary. Emma ? Oui, elle-même. Ce 29 janvier, une « épopée potache » a commencé, avec pour mission d’exprimer la quintessence de cette Madame Bovary sur les réseaux sociaux : fin des hostilités ce 6 novembre 2021 — si personne ne s’est fourvoyé dans les dates. Chaque jour, un nouveau message pour ce bicentenaire, permettant aux utilisateurs de s’approprier la bourgeoise Emma. Le tour d'Emma en 280 tweets Dix autrices et auteurs soutiennent ......
Publié le 13/11/2024 18:12 Temps de lecture : 1min - vidéo : 8min "Je suis allé voir Madame Lelouch" : Kad Merad raconte sa rencontre saugrenue avec Claude Lelouch pour jouer dans "Finalement" "Je suis allé voir Madame Lelouch" : Kad Merad raconte sa rencontre saugrenue avec Claude Lelouch pour jouer dans "Finalement" (France 2) Kad Merad est à l'affiche de "Finalement", le nouveau film du réalisateur Claude Lelouch, en salles ce mercredi 13 novembre. Dans le "13 Heures", les deux hommes r... ...
« Francis se leva et courut dans l’allée sans lâcher ses tubercules charnus. La porte du train était déjà fermée, le mouvement, lancé, et Genève s’éloignait sans qu’il y eût aucun moyen de revenir en arrière. Lorsqu’il retourna s’asseoir à côté de Mme Bœuf, dans un silence penaud, elle affichait une moue souverainement consternée. Avant de tourner la tête du côté de la vitre, elle leva les yeux au ciel. Dire que ce type aurait pu devenir son gendre, s’il n’avait pas été de la jaquette... » Madame B... ...
« Francis se leva et courut dans l’allée sans lâcher ses tubercules charnus. La porte du train était déjà fermée, le mouvement, lancé, et Genève s’éloignait sans qu’il y eût aucun moyen de revenir en arrière. Lorsqu’il retourna s’asseoir à côté de Mme Bœuf, dans un silence penaud, elle affichait une moue souverainement consternée. Avant de tourner la tête du côté de la vitre, elle leva les yeux au ciel. Dire que ce type aurait pu devenir son gendre, s’il n’avait pas été de la jaquette... » Madame B... ...
Une exposition a sur la Carthage de « Salammbô » stimule les liens culturels et scientifiques entre Paris et Tunis. Une manière pour la France de rester au contact de la société civile à l’heure de la dérive autocratique. Dans les vitrines du somptueux palais ottoman, une étonnante déesse a tête de lionne, le dieu-serpent Python sculpté grandeur nature ou encore ce gisant d’une prêtresse élégamment vêtue d’ailes de vautour… Après avoir été initiée pour le bicentenaire de Gustave Flaubert, montée en 2021 à... ...
Tunisie : « La réouverture du Musée du Bardo est une urgence pour la culture, le tourisme et notre histoire commune » - lemonde
La métropole de Rouen s’offre un manuscrit unique de Gustave Flaubert - lepoint_culture
Rouen s’offre l’unique manuscrit de "Novembre", roman de jeunesse de Gustave Flaubert, détesté par l’auteur - francetvinfo
Bonté souriante au fil des pages, Étienne Kern faufile et lie l’affection pour ses parrain et marraine, au déroulé de la vie d’Émile Coué. Le voilà qui prend vie à son comptoir, photographie ancienne, bonhomie généreuse, par le pouvoir des mots justes — à la Flaubert décrivant le bon mari d’Emma Bovary. On se prend à penser que le Beautiful Boy chanté par John Lennon pourrait être sans doute Etienne Kern lui-même... il n’y a pas de hasard. « Écrire, c’est peut-être ça : répondre à une lettre jamais reç... ...
Jeff Bezos dit que la vie est meilleure qu’avant, mais l’humanité doit aller dans l’espace - lesactualites
Madame au Théâtre Clavel Madame est notre coup de cœur culturel de la rentrée : une pièce de la compagnie Bliss’Art à l’humour grinçant sur Madame Claude au Théâtre Clavel à Paris les 12, 19 et 26 octobre à 21h30. Madame est une pièce jouée par des clowns sur l’histoire de la proxénète Madame Claude : ce mélange des genres est un vrai bonheur, on se pince pour découvrir une pièce aussi originale sur scène. Et forcément, on en oublie tous nos préjugés. Quoi de mieux que le clown et le rire pour sublimer d... ...
Le Suicidé qui « veut vivre » d’Erdman : Un délicieux vaudeville burlesque et grinçant à la Comédie française - entrevue
CRITIQUE - Lire ce livre merveilleux est émouvant et réconfortant ; sans éluder les tristesses de la vie, s’y déploie un art de la joie. Sans avoir rien mangé, Flaubert eut une indigestion après avoir écrit l’empoisonnement de sa Bovary. Il arrive que fusionnent un romancier et son personnage. Ainsi, Émile Coué, celui de la méthode, a-t-il pénétré l’esprit d’Étienne Kern, qui le fait revivre. «Vous aurez une vie meilleure», promettait le «professeur d’optimisme», profondément doux, bien intentionné, pas vén... ...
Le père et la fille sont restés très proches. La famille Micelli se retrouve ! Il y a 40 ans, l'Amérique se demandait Who's the boss. Aujourd'hui, Alyssa Milano et Tony Danza se sont réunis et ont célébré leurs retrouvailles post-Madame est servie, avec quelques photos. La fille et le père à l'écran se sont retrouvés lors du spectacle « Sinatra and Stories » que joue Danza au Carlyle Cafe à Manhattan. L'actrice de 52 ans a écrit ce tendre message : "Mon papa de télévision pour toujours. Je l'ai vu la semaine de... ...
Plus de trois décennies après sa création, la mise en scène minimaliste et hypnotique de Madame Butterfly par Robert Wilson reste intemporelle. À l’Opéra Bastille, le public a été fasciné par l’élégance formelle des décors épurés et des mouvements chorégraphiés inspirés du théâtre nô et de la danse butô. Mais c’est surtout la prestation de la soprano italienne Eleonora Buratto dans le rôle-titre qui a marqué les esprits. Son incarnation de Cio-Cio-San, la jeune geisha trahie, a touché le public par son intensité. ...
« Urgence de rénovation : Le Palais Garnier et l’Opéra Bastille de l’Opéra de Paris nécessitent une intervention immédiate, alerte la Cour des comptes » - radioclassique
Visuellement, Madame Butterfly de Robert Wilson est d'un raffinement esthétique époustouflant. Des tableaux, figés ou animés, se succèdent dans un décor dépouillé à l'extrême, accompagnés d'explosions de couleurs et de lumières. Dans cette tragédie, le metteur en scène américain s'est inspiré du théâtre nô et du butō, danse-théâtre contemporaine nippone qui se distingue par sa lenteur. Sur scène, les artistes évoluent avec une économie de gestes tout au long du spectacle. Robert Wilson (lien en anglais) s'est en... ...